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Perdrix inévitablement |
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![]() oOo Toute envolée de perdrix en ce lieu incendie son Alexandrie pour s’y brûler. S’élève en flamme vers son cri plein de noir de fumée. S’y étouffe en beauté. Monte et donne du poids à la légèreté d’un contingent de sens ébouriffé de plumes. Son nom est d’oiseau. On y furète un temps de son fusil d’épaule on y cherche les points de sa disparition toute en vivacité. Leur fonce dans les plumes pour trouver ce rien qui est envol vers je. Perdrix est perdre haleine pour un opéra de tout et paysage en voie de perdition. Prendre un siège pour s’assiéger et se cribler de carreaux de perdrix pour que soit dit ce rien d’une envolée de soi dont le cri est moignon de chant au bout du bras où s’active la main engluée d’horizon. Qui est battements d’ailes et drisse pour hisser qui perd de la hauteur et pourtant s’y efforce. Ouf souffle chaque perdrix tançant son embonpoint et se confond avec le livre de la chambre ouverte à un balcon. Il faut que leur envol ait la lourdeur requise afin de ne pas perdre de vue leur œil pers. Sorties du creux des routes qui est un appel s’effarouchent s’ébattent s’efforcent halètent leur propre recrudescence entre les coudes. Dans la haie du blanc.
Est-ce à la reine blanche que je me prépare à parler ?
Lewis Carroll |
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