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Le portrait du Tunisien revu et corrigé
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 Article publié le 15 février 2015.

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<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>Il est primordial de rappeler encore et toujours, la fabuleuse histoire de la Tunisie depuis 5000 ans, l’homo-sapiens proto- méditerranéen a déjà laissé les premières traces d’un art précaire comme les scènes de chasse dans une grotte de « Ain Khanfous » et les différentes figurines humaines en calcaire découvertes au site d’El Mankaa, près de Gafsa. L’évolution culturelle n’a cessé de donner des preuves sous le règne de Didon, les mosaïques du Véme siècle sont d’une beauté rare et d’une grande précision ce qui leur a valu leur premier classement mondial. Depuis cette époque les tunisiens se sont habitués à l’art et à la culture, ils se sont habitués à voir des portraits d’hommes et de femmes puissants : Amilcar, Hannibal, Assad Ibn El Fourat, Okba Ibn Nefaa, Didon, Sophonisbe, la Kahena la reine berbère, Aroua la monogame, lella Manoubia la sainte, Aziza Othmena première femme médecin, Bchira Ben Mrad la pionnière du féminisme, Radhia Haddad et la révolte du voile … et la liste est bien longue pour les citer toutes et tous à travers les siècles.

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>L’identité du tunisien a toujours été mise en exergue excepté les deux derniers siècles, opprimée par un contexte politico-social assez répressif.

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>Depuis un certain temps, il y a un grand retour vers le portrait et l’auto portrait, <span style='mso-spacerun:yes'> on affiche partout en Tunisie des images de la révolution Tunisienne, « Le printemps arabe » ou encore « La révolution du jasmin » et surtout des portraits de tunisiens, des portraits de tunisiennes, des visages qui nous regardent collés sur les parois des murs, sur les arbres... Un art de la rue bien nouveau pour un pays qui a passé de nombreuses années sous la censure de l’image sensée représenter l’idéalisation d’une personne, et par conséquent limitée à un nombre fort restreint de personnages, notamment d’Etat.

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>Des photos de presse qu’envient tous les artistes photographes, des portraits parlants, communicatifs, agressifs, révolutionnaires, un cri qui émane du plus profond de l’image prise et du profond de l’artiste qui a capturé ces moments de déchainement, <i style='mso-bidi-font-style:normal'>« l’œuvre, parfaite coïncidence de l’être et du dire, inutilisable. L’œuvre, qui transmet le monde et ne se l’approprie pas (pas plus qu’elle ne s’approprie notre imagination) excède l’artiste engagé »(1). Une situation bien difficile pour les « portraitistes » mondains qui ne tarissaient  d’éloges pour la classe gouvernante entre 1983 et 2011en maquillant et transformant, tous les clichés pris.

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>Pendant tout ce temps, les écrivains, les cinéastes, les internautes, les plasticiens avaient du mal à produire librement, le culte et l’égocentrisme de la personne régnante a opprimé toutes les autres identités productives.

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>Le résultat on le perçoit clairement, une explosion artistique s’est produite, au niveau de la musique, du rap tunisien, au niveau de la poésie, de l’écriture, l’histoire même a dépoussiéré ses lettres et s’est emparée d’un nouveau souffle.

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>La danse, la mise en scène, le théâtre, la poésie de Taher Bekri, la peinture, se sont retrouvés tous ensemble pour donner naissance à un nouveau né qui est le mélange de tous les arts. Je cite comme exemple « Dream city<b style='mso-bidi-font-weight:normal'> » manifestation culturelle et artistique qui a connu cette année la participation de plus de 400 artistes tunisiens mais également étrangers.

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>Un nouveau visage est apparu, à l’unanimité, le peuple se dit d’avoir découvert le vrai visage du tunisien, un visage qu’on ne connaissait pas vient de surgir du fond de nos corps, un visage qui pour la première fois affronte ses ombres et ses lumières, ses creux et ses courbes, ses imperfections, ses couleurs, pour la première fois le tunisien prend conscience qu’il respire et qu’il existe vraiment.

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>Et pourtant depuis Socrate on parle du « moi », je cite sa fameuse citation « connais- toi toi- même », ici je l’interpréterai comme la conscience est signe d’existence.

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>Je ne parle sûrement pas ici de l’identité, telle qu’enregistrée dans les fiches d’état civil pour reconnaitre l’existence d’une personne, je fais référence ici au vrai moi créateur. Ce moi qui me caractérise et qui fait que chaque être soit différent, attire l’intention de plusieurs théoriciens et praticiens particulièrement face à la difficulté de le représenter.

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>L’art et la<span style='mso-spacerun:yes'> littérature tunisiennes n’ont pu finalement prendre leur envol que pendant la période du protectorat, là un mouvement est apparu en parallèle de l’existentialisme en France, c’est le premier mouvement révolutionnaire qui est apparu dans l’histoire de la Tunisie, comme Ali Douagi et Mahmoud Messadi (grandes références de la philosophie tunisienne du début du XX siècle), en parallèle avec l’existentialisme de Sartre, Camus, Simone de Beauvoir qui ont mis « l’existence avant l’essence », ce qui veut dire le futur de chaque être libre et unique est forgé par ses actes, sa conduite et le choix de ses valeurs. On retiendra trois concepts fondamentaux de ce mouvement : l’identité, l’existentialisme et l’action.

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>Pendant tout ce temps par contre, la peinture de chevalet en Tunisie, se limitait à reproduire les scènes de genres dans les demeures tunisiennes comme les œuvres de Jallel Ben Abdallah (peintre miniaturiste tunisien né en 1921) et Khayechi (peintre de la bourgeoisie tunisienne 1918-1987), ou les bédouines dans les campagnes tunisiennes, le cas de Yahia Turki (peintre tunisien 1903-1969) et Ammar Farhat (1911-1987, cofondateur de l’Ecole de Tunis), et quelques portraits sur commandes purement flatteurs dans un but lucratif.

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>La littérature en Tunisie a toujours été en avance par rapport à l’art, bien que l’art paléolithique ait existé en Tunisie bien avant l’homo-sapiens.

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>Et en plus des <span style='mso-spacerun:yes'> problèmes politico-sociaux, un autre problème s’ajoute, plus universel, plus général et qui touche la culture de très près c’est la globalisation et la mondialisation dans tout ce qui se donne à voir.

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>Face à un incroyable mouvement de mondialisation, et d’universalisation, l’ETRE, au plus complexe et profond qu’il soit, a du mal à marquer sa différence par rapport à tout ce qui se voit, par rapport à tout ce qui se crée « l’enjeu de la mondialisation consiste à reproduire et diffuser en masse une nouvelle forme d’art qui ne doit pas être reléguée dans la sous –culture ou dans la culture « populaire ». Cet art de masse assume pleinement son nouveau statut : les œuvres de l’art de masse revendiquent le fait d’être absolument non culturelles » (2). Ce « stériotypisme » n’a fait qu’augmenter l’envie de marquer son propre territoire, d’affirmer son identité, et de mettre en exergue ses traits de caractères qui le spécifient à travers le portrait et l’autoportrait « l’art de masse est un art qui s’adresse à des individus isolés et refermés sur eux- même, en rupture de toute communauté, il n’est le support d’aucune tradition, le véhicule d’aucune mémoire, l’amorce d’aucun lien. Il se passe donc de tout commentaire »(3).

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>L’artiste créateur se retrouve sans souffle, il ne fait qu’imiter une réalité sans aucune créativité, l’identité créatrice est enfouie dans les couches de matière, elle n’est plus visible, elle n’est plus perceptible, elle est enterrée vivante.

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>Ce n’est donc qu’à la fin du 20 éme siècle et face à cette censure de l’identité qu’est advenue la « mondialisation », que l’être a senti le besoin de justifier sa différence et son refus d’appartenir à un groupe, une catégorie et avoir l’étiquette d’être aux normes, ISO 5508.

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>Etienne Souriau a écrit <i style='mso-bidi-font-style:normal'>« Pourquoi l’art présent se désintéresse t-il entièrement de ces études de perspective qui faisaient il ya cent ou deux cents ans le pain quotidien de l’expression plastique ? Le grand problème pour l’ancêtre était de trouer la toile et de forcer sa surface plane à exprimer la profondeur et à en donner l’illusion, tandis que le peintre aujourd’hui accepte la toile du moins le panneau plan, et que son problème tout différent et presque inverse est d’y situer ce qu’il veut dire : sentiment, rêve, observation ou affirmation. Ce n’est pas le goût qui a changé, c’est le problème »(4). 

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>La mondialisation censure la subjectivité, elle ampute l’identité pour ne donner que des stéréotypes inertes, loin d’appartenir au monde de l’ART en tant que création en perpétuelle métamorphose.

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>Le problème n’arrête pas d’évoluer, il y a un va et vient infatigable entre l’être et le non être, entre l’intérieur et l’extérieur, entre le moi et ce qui l’entoure, entre notre monde intérieur et l’infinie grandeur de notre existence. Ce dynamisme est lancé depuis notre naissance quand on prend le premier souffle et ne s’arrête qu’au dernier souffle de notre vie.

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>L’artiste créateur tunisien a finalement connu plusieurs périples à travers l’histoire, la restriction de la représentation par la religion musulmane, la colonisation et le protectorat et l’oppression de l’identité, le culte de la personnalité sous le Bourguibisme, la censure de l’identité sous Ben Ali et en parallèle à tout cela la mondialisation qui a voulu imposer que tout produit créatif soit conforme aux normes internationales.

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>J’ajouterai encore à toutes ces limites et restrictions, ces barrages et ces barrières une autre censure plus agressive et violente, elle commande l’acte créateur avant qu’il ne soit né et vu, Je parle ici de notre corps, du corps qui est à la commande de tout acte créateur ou anodin. Il peut donner et inhiber, se relâcher et puis s’abstenir, donner puis reprendre, étonner, claquer, tuer, et ressusciter, être amputé, proliférer…et qui est source également de toute auto- censure.

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>En guise d’introduction ici, je rappellerai d’une manière générale que ma pratique et mon travail de recherche depuis quelques années ont été initiés à partir d’un questionnement sur les enjeux de la restitution de l’identité à travers l’écriture, la poésie et la photo.

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>Comment l’écrivain, le poète, le peintre et le plasticien pouvaient ils être fidèles à leurs vraies identités. Qu’est ce qui fait que l’identité soit authentique, sans aucun artifice sans aucun leurre, sans aucun détournement ?

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>Il y a en effet deux éléments fondamentaux à prendre en considération pour la représentation de l’identité. La créativité est un moyen d’exprimer une situation, mais en amont de la créativité il y a la censure et l’autocensure, il ya le portrait et l’autoportrait, il ya l’identité et l’identifié.

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>Alors comment ne pas aborder la question de cette censure omniprésente dans notre vie ? Je reviens ici à mon objet de recherche depuis des années, le corps créateur et plus précisément la respiration.

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>Ce qui donne naissance à n’importe quelle trace laissée sur un support est l’inspiration et l’expiration, rien ne peut se faire sans les poumons malgré qu’ils ne soient pas un organe noble <i style='mso-bidi-font-style:normal'>« Que - serait elle pensée, si elle n’avait une gorge à serrer, des glandes à tarir, une tête à enflammer, un souffle à comprimer »(5), la création se fait indéniablement au rythme du symptôme respiratoire « Il s’agit d’une ample, fraîche, profonde prise de souffle à la surface universelle, où nous puisons de quoi vivre un instant de plus »(6) . Mon souffle, ce va et vient fait que mon corps « faute d’organe spécialisée, tout le corps peu à peu s’y met et exécute les mouvements possibles »(7) puisse prendre un outil pour peindre ou écrire.

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>Et pendant ce temps une infinité de petits mouvements se créent dans notre vie au rythme de notre souffle, au rythme de notre respiration au rythme de notre philosophie méditerranéenne et orientale qui se veut réceptive et donatrice, c’est l’éternel recommencement. L’artiste face à sa toile donne de la matière et reçoit des idées, il creuse des espaces et entre dedans pour transgresser  la limite de la trace et pénétrer dans des espaces purement inconnus qui touchent la subjectivité la plus intime et la plus profonde qui soit. Dans cet espace le pensé et le fait ne font qu’un, une spirale est mise en rotation de l’intérieur vers l’extérieur et de l’extérieur vers l’intérieur. L’œuvre se nourrit ainsi de l’énergie du corps en gestation. Dans toute pratique, la matière et le corps fusionnent ensemble, et grâce à cette transposition, j’ai pu conclure que le corps n’est pas un outil de travail mais un principe vital dont le dynamisme peut être en concurrence avec celui de la création, l’animer ou la déclencher. L’artiste laisse une trace et la trace provoque une réaction enchainée, c’est la prolifération que la mondialisation n’a pas su donner, seule la subjectivité peut causer cette réaction qui dérange et qui suscite notre questionnement et notre intérêt.

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>La plasticité n’existe qu’à partir de notre corps, le corps reste pour moi une énigme et cela est du à la prohibition de la représentation du corps dans la religion musulmane. En tant que femme, le corps m’intrigue, et suscite en moi une multitude d’interrogations de nature identitaire.  

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>L’identité est le grand moteur de la pensée et de la pratique plastique, l’artiste ne peut pas travailler en dehors de sa subjectivité. La réflexion ne nait qu’à partir d’un acte, d’une trace, d’une subjectivité, d’un arrêt sur une idée, d’une pensée sur une nouveauté, d’un souffle coupé, d’une apnée… 

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>En conclusion, j’aimerai réécrire le titre de mon intervention et au lieu de dire « le portrait du tunisien revu et corrigé »,<b style='mso-bidi-font-weight:normal'> <span style='mso-spacerun:yes'> je dirai « Le portrait du tunisien en gestation », ma meilleure manière de rendre hommage aux artistes qui se battent pour  notre identité que nous essayons de protéger et que nous portons si fièrement en nous.

 

<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'>

<i style='mso-bidi-font-style:normal'>Références et notes bibliographiques<span style='font-family:"Times New Roman","serif"'> :

(1) et (2) Roger Pouivet, « L’œuvre d’art à l’âge de sa mondialisation, un essai d’ontologie de la masse », Ed. La lettre volée, Paris 2003.

(3) Etienne Souriau, « l’avenir de la philosophie », Ed. Gallimard, Paris 1982.

(4)Elisabeth Pagnoux, « De l’image comme texte, réponse à l’ouvrage de Georges Didi_Huberman »,<span style='mso-spacerun:yes'> Art Press Avril 2004.

(5)Andrée Bergens, « les personnages de Raymond Queneau in cahier de l’Herne », Ed. l’Herne, Paris 1975.

(6)Paul Valéry, « Cahiers n°23 », Ed . CNRS, Paris 1957-1961.

(7)Correspondances Gide- Valéry (1890-1942), Ed. Gallimard, Paris 1955.

 

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<span style='mso-spacerun:yes'> « Avenue Habib Bourguiba » par<span style='mso-spacerun:yes'> KENZA MARRAKCHI, février 2013.

Photo prise par un inconnu pendant la révolution Tunisienne Janvier 2011.

« Victoire de Tunisie » photographie de l’artiste Hamideddine Bouali, Février 2011.

 

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