Sa main dans mon oreille et le braiement du lit. Se mettre à table basse ou pas assez de sel sur cette langue qui lèche ses plis par défaut. Son trop plein sa trop pleine table jambon rase lèche son défaut. Arpent vaut tout l’espace son col de chemise sa cravate et potence d’aube à tout raser. Peut-être c’est certain le diable me poussant. Fait son défaut se voit s’étrangle dans la glace de l’armoire à glace à poil et cerf d’élan. Jambon pour la paroisse de ma faim qui boit la prétentaine et l’œil disert qui voit qui parle et veut se mettre à table et veut remplir de mots les mots fumés séchés pendus de son jambon. Hardi jambon ! Hardi cherche où le bât te blesse pour lécher le bas. Donc veut écrire mot lâché pris sur le fait et va petit de ci de là cahincaha. Ici âne bâté sa langue-scie et mienne pour couper bientôt des arbres nouveaux nés. Les replanter pour les pousser pour les fumer et les sonder un peu les tondre de ma langue. Et la table mes dents ma large et plate dent est la chaise et le pré de l’herbe entre mes dents la chaise où elle siège nue comme un torrent. Un verre d’eau à dent.

Il est à présent acquis que tout est semblable, sauf la composition et le temps, la composition et le temps de la composition et le temps dans la composition. Et comme la composition est différente et le sera toujours tout n’est pas semblable.

Gertrude Stein