« Je regarde au dessous la lumière et contemple sa toison nocturne de bélier transi. C’est le masque de carnaval de mon ombre sur son char qui file vers le signe plus. Une mouche est le point de sa joue où mon cirque s’allume comme un feu de joie. L’empoignade du jour au mollet rebondi se glose entre mes serres. Suis-je mon vautour aux horizons mobiles et aux règles de sang ? Je regarde passer mon ombre lumineuse entre des cils d’arbuste et je vois le grand trou du plus me regarder. Je l’empoigne comme on chaperonne un faucon ».

j’ai vu, face à face, l’impossible.

Alfred Jarry