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Ratimir PAVLOVIC - La pensée créative et scientifique contemporaine

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 Article publié le 26 avril 2006.

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Ratimir PAVLOVIC
La pensée créative et scientifique contemporaine
En souvenir de la très belle conversation que nous avons eue sur le stand de Luciano au Salon du livre de Paris 2008

MÉLIS Éditions - Entretiens, essais

Cette oeuvre fondamentale a pour mission, entre autres nombreuses ambitions, de présenter plusieurs découvertes de Ratimir PAVLOVIC, en matière de littérature, de sciences et d’art, tout en célébrant d’autres esprits qui ont marqué puissamment notre temps et qui font partie de la Pensée créative et scientifique contemporaine française et mondiale. Tout ce Florilège de la Pensée nouvelle, qui triomphe du passage du Temps, est destiné à tous les niveaux d’Enseignement littéraire, scientifique et philosophique ainsi qu’à un plus large public.

Destinées par Patrick CINTAS

suivi de Luciano MELIS éditeur
par Bernard MAZO

La langue française veut que l’art et la science soient nettement différenciés comme deux activités portant sur deux champs du savoir qu’il ne serait pas possible de confondre : le beau, qui peut être imaginaire et rester beau, et le réel qui n’est pas imaginable et qui peut être laid. Ailleurs, on parle d’art pour désigner la science et on n’y voit aucun inconvénient. Mais si Ratimir PAVLOVIC n’a pas trouvé les fondements de sa pensée dans cette langue qu’il vénère et honore, il ne semble pas non plus que les flous artistiques et scientifiques pratiqués en terre étrangère l’aient beaucoup inspiré. Sa pensée est originale.

Ce livre qui donne la parole aux autres à la condition qu’ils soient éminents et savants est aussi un autoportrait, bien loin de l’autobiographie et si proche de la philosophie qu’il ne peut être écrit que par un poète. « Toute pensée innovatrice ou porteuse d’originalité est créative et scientifique en même temps. La révélation d’une découverte scientifique, par sa nouvelle signification, nous apporte sa nouvelle théorie. Il en va de même pour toute innovation artistique. Il y a une interférence créative entre l’art et la science au niveau de leur signifiant respectif. De ce fait, l’ensemble du patrimoine intemporel artistique et scientifique peut être considéré en tant que Pensée créative et scientifique contemporaine, suggestive ou palpable. »

Le livre est composé de dialogues accordés par rien moins que des prix Nobel, des académiciens, des savants de tout poil et des esprits notoirement en avance sur ou en phase avec leur temps. Ce florilège socratique - que Jean Orizet désigne comme tel dans sa préface - atteint de temps en temps des discours prononcés à l’occasion de rencontres où Ratimir PAVLOVIC exerce invariablement son influence philosophique. « Nous avons pu constater que vous étiez capable de réveiller l’intérêt, aussi bien des spécialistes que du public, pour la théorie et la stylistique littéraire », déclare Claude MAURIAC dans une de ces conversations et à propos d’une de ces rencontres. Quelle meilleure définition du philosophe moderne que cette capacité de réveiller (ou d’éveiller) l’intérêt ? Un philosophe, ça rend curieux ou ça n’est pas. Choisir d’interroger les « spécialistes » pour ce faire est sans doute un choix plus poétique qu’il n’y paraît. Il faut dire qu’à aucun moment de ces presque six cents pages on ne se trouve pris au dépourvu par la complexité et l’universalité, la plénitude des explications que ces savants et ces artistes veulent bien, au fond, nous accorder pour nous rapprocher d’eux et de leur travail.

Science, art, esprit, travail. Il s’agit bien de nous et Ratimir PAVLOVIC réussit à ne pas limiter la portée de son discours à l’existence privilégiée de quelques édiles. La promesse de s’adresser « à tous les niveaux d’Enseignement littéraire, scientifique et philosophique ainsi qu’à un plus large public » est tenue exactement comme un Philosophe, comme un Encyclopédiste, comme un savant, somme toute, doublé d’un connaisseur. Une parabole sur le vin ne nuira pas à la réputation de Jean ORIZET : connaître le vin, ce n’est pas le savoir et le savoir, ce n’est pas non plus forcément le connaître ; le philosophe cherche les deux bouts de ce croisement insensé qui en a quatre et qui alors ne s’adresse plus à l’esprit, mais à ses saints.

Un exemple plus distingué, ou en tout cas plus raffiné, met en jeu cette corde que j’aime faire vibrer de temps en temps parce qu’elle a animé ma jeunesse de réflexions kaléidoscopiques. Faites vibrer cette corde. Elle produit un son. Coupez-la en deux, elle en produit un autre. Dire que ce « résultat » représente la moitié du son originel est une erreur scientifique et une bêtise musicale. Pourquoi ? Parce que la moitié d’une corde, en terme de physique, n’est pas la moitié du son produit par son unité. On a beau avoir raison sur la question de la longueur linéaire, on a tort sur celui de la longueur d’onde. On enseigne peut-être encore à l’école primaire qu’on ne mesure pas les distances avec des litres. Quoique... Un musicien peut-il ignorer cela ? Et le facteur d’orgues (Dominique FERNANDEZ en connaît deux) n’est jamais très éloigné de l’art de la musique. Deux curiosités se croisent à cet endroit précis de la philosophie. Ratimir PAVLOVIC s’interpose entre le silence probable et la parole donnée. Il s’ensuit une infinie conversation avec son temps, bien au-delà des personnalités qui le marquent de leurs trouvailles créatives. En toute simplicité et sans sacrifice du complexe qui est notre seul dieu. Nos modes de calcul (logarithmes, complexes, etc.) ne nous réduisent pas si facilement à l’étrangeté, petit message qu’il m’est arrivé de faire passer dans cet Étranger que Nacer KHELOUZ et nos amis de l’Université de Pittsburgh nous ont proposé de portraiturer jusqu’à satiété[1].

De cette vision croissante semble-t-il à l’infini, naissent les quatre personnages qui animent l’oeuvre de Ratimir PAVLOVIC : le scientifique, l’artiste, l’intellectuel et le manuel. Il en retrace à la fois la fable et la chronique. Je veux dire qu’il en tire en même temps la morale et l’aventure. Partant de sa première découverte, la « traduction littéraire », qui consiste d’abord à estimer que le traducteur est un créateur, passant par la langue française dont le choix s’explique finement, il en vient à cette idée non absurde d’une Pensée créative et scientifique. L’annonce est plutôt bien accueillie par ses interlocuteurs gagnés d’avance par sa forte personnalité pensante.

Et sur le fil de ces conversations, personne ne semble s’interdire la vérité. À cet égard, l’intervention de Denis LANGLOIS, avocat et écrivain, est presque vertigineuse. Celles des écrivains, souvent académiciens et, (je pense), sans doute à cause de cela, atteint rarement une telle intensité dans l’art de tirer les conclusions de l’évidence. Par contre, les scientifiques sont plus, disons, réalistes. Henri LABORIT est particulièrement percutant. Antoine VITEZ, dans sa science de la traduction, se souvient si honnêtement des dix ans passés à traduire Le don paisible que je n’éprouve plus aucun scrupule à mal parler des traductions de KAFKA, de MUSIL ou de FAULKNER qui ont envenimé ma connaissance de la littérature. Jack STEINBERGER, humaniste et savant américain, déclare en toute modestie qu’il n’a pas « beaucoup de connaissances approfondies en ce qui concerne ces théories. Mais ce que je possède solidement, ce sont celles que m’ont offertes mes propres expériences. » Non moins modeste, mais aussi précis dans ses descriptions, François NOURISSIER pense que « l’activité [qu’il] pratique est plus proche du journalisme que de la critique au sens noble. » Noblesse. Edmée de la ROCHEFOUCAULD croit « d’ailleurs qu’il n’y a pas tellement de choses extraordinaires qui paraissent en notre temps et que la critique a peut-être raison de s’étendre sur des sujets marginaux... » tels que le langage, la création, la mémoire, le temps, l’espace ! Yves BERGER pense que l’inspiration du savant et du créateur sont de nature différente. « Les lois auxquelles sont soumises leurs activités sont différentes. Mais je n’oublie pas que le savant est aussi un créateur. » Autrement dit : le créateur n’est pas forcément un savant. « ... Plus contraignantes sont les règles, plus belle est la prose qui arrive à les dépasser en les observant. On ne saurait en dire de même avec les règles scientifiques qui sont beaucoup plus complexes. » Mystique... ou fin observateur.

Quelquefois, la bêtise, au sens noblement flaubertien, point à l’horizon : Angelo RINALDI pense que la philosophie allemande « noie le poisson », mais c’est « vraiment de l’extérieur [qu’il dit] cela. » « Seul le christianisme ne fait pas de vaines promesses », proclame Zinaïda SCHAKOVSKOY qui est une « encyclopédie vivante ». Ratimir PAVLOVIC lui-même s’écrie : « On voit certains écrivains publier presque chaque année un roman, ce qui me paraît absolument impossible. » Veut-il laisser entendre qu’il n’y a plus de géants comme Balzac pour en publier quatre ? Louis NÉEL est amusé par l’informatique : « ... on tend à faire de moins en moins d’expériences, on fait des modèles d’expériences. » Raphaël SORIN est plutôt d’accord : l’informatique « dessert toutes les langues et c’est un appauvrissement »

Mais, dit Louis NÉEL, « le travail (surtout manuel) est très important à tout âge. » Les intellectuels, « il faudrait qu’ils passent la moitié de leur temps à travailler manuellement. » « J’aimerais bien que l’on demande aux candidats au baccalauréat comment fonctionne un détergent, comment on fait cuire un œuf... plutôt que des connaissances théoriques sur les électrons. » Au sujet de la Presse (qui n’est pas encore un pouvoir chez nous) : « On ne réfléchit plus, on veut donner en deux heures la solution de problèmes qui sont très compliqués. Il vaudrait mieux avouer qu’on ne sait pas ce qui va se passer. » C’est ignorer la puissance de la Propagande qui sait ce qu’elle fait quand elle propose, dans le meilleur des cas, ou quand elle impose, le plus souvent, les désirs à la réalité. Denis LANGLOIS : « ... la façon dont la justice française fonctionne aboutit forcément dans certains cas à une erreur judiciaire.. » Frisson ! Oublie-t-il que la peur du gendarme est un des fondements de notre république aristocratique ? On l’enseigne même. Raphaël SORIN, imperturbable : « ... les gens lisent l’article et, s’il y a des arguments, ils iront lire les livres. » Le coup bas, Léon DAVICO, haut fonctionnaire des Nations Unies : « Le français est une vieille langue, très belle et autant vénérable qu’honorable, elle a eu beaucoup d’expérience aristocratique... Je comprends bien votre souci, mais ça ne suffit pas pour favoriser son expansion. L’Amérique a joué (et joue) un rôle capital dans la modernisation scientifique et technologique du Monde. Tout ce qui est le plus moderne et le meilleur, à quelques exceptions près, vient de l’autre côté de l’Océan atlantique. De ce fait, l’Amérique n’a pas besoin de se servir d’une autre langue que la sienne. Son influence sur la modernisation du Monde est énorme ». La question était : « À quoi attribuer le fait que la communication dans presque tout le domaine scientifique soit dominée par l’anglais ? » Louis NÉEL est plus perspicace encore : « ... il y a des langues que peu de Français comprennent, par exemple le russe. C’est pourquoi la Russie préfère publier ses travaux scientifiques en anglais. » Le français est-il une excellente langue pour la Science ? SORIN, cruel : « ... je ne suis pas pour les concours d’orthographe à la télévision où les gens sont un peu comme des bêtes savantes. » On peut donc être bête et savant !

La profondeur des analyses de Henri MESCHONNIC et de Ilya PRIGOGINE nous transporte un instant dans le langage et le temps, démentant le précepte Merleau-Pontien qui voudrait que « la science manipule les choses et renonce à les habiter[2] ». Dans la conversation que Ratimir PAVLOVIC engage avec ses miroirs, la demeure se précise au fil des pages jusqu’à l’habitation. « Notre vie est faite d’expériences, dit Louis NÉEL. L’ensemble de toutes ces expériences constitue un langage très intéressant [notons qu’un littéraire eût préféré le trouver fascinant et un critique du Monde, croustillant]. Mais comme vous le faites observer, il ne faut pas ignorer le langage et les expériences de l’intuition. »

Les expériences de l’intuition... La cadre est ici trop étroit pour aller trop loin dans l’appréciation de l’ampleur de ce livre. Des saturations cognitives s’imposent. Car la philosophie de Ratimir PAVLOVIC n’est pas un arrêt au bord de la découverte. L’homme s’impose aussi, impose notamment une « cosmologie poétique de l’enfance » qui est une manière d’équilibre des forces mises en jeu par la pensée comme apanage de la maturité. « L’enfant connaît en méconnaissant. Une telle faculté est aussi celle de tout vrai poète, c’est-à-dire de celui qui cueille le poème au niveau de son propre dépassement intellectuel. » Intuition, faculté. Il y a un humanisme là-dessous. Cet enfant comme « témoin » privilégié deviendra scientifique, artiste, intellectuel ou manuel, ou il saura, pour donner raison à Louis NÉEL, être tout à la fois et un de ceux-là en particulier. Vite, vite, Bergson passe en « maître de la raison pure » et Bachelard en « apôtre de l’observation première  ». Ces heures interminables et chaleureuses de conversations à la surface des appartements ne sont donc pas vaines. Et cette conclusion provisoire qui ouvre d’autres livres : « L’enfant dit et nomme en exprimant la totalité de ses visions pures. C’est pourquoi sa perception, toujours pleine de dévoilement du Réel, tel qu’il est dans sa dimension originelle, dépasse son âge. » Élisabeth CHÉRON-PAVLOVIC, qui revient ici en étrangère seulement parce qu’elle n’est plus de ce monde, dit : « Les enfants ont beaucoup de courage. »

Une autre dimension des facultés qui permettent de recevoir les choses « purement et simplement » s’annonce par une mouette signe de visions prémonitoires. « Evénement de ma perception pure, pouvoir créatif dont la Nature m’a doté. » « Je pourrais rédiger d’interminables romans-fleuves sur mes visions des foules de cris multicolores qui ne quittent jamais ces lieux... » « Avec toutes les preuves du souvenir à l’appui ». Preuves du souvenir... Mieux qu’une autobiographie, c’est la philosophie qui désigne la science et l’engage à d’autres explorations aux visées moins technologiques.

« En définitive, ce que la philosophie est à la science, la critique littéraire l’est à la littérature. »

... On n’en finirait pas. Ce livre clair parce qu’il est profond par éparpillement logique et complexe parce qu’il n’est jamais obscur dans la cohérence, est une invitation à apprécier la clarté pour ses formes et la complexité pour ses possibilités. C’est qu’au-delà des conversations, de ces conversations qui peuvent passer pour exemplaires tant leurs répercutions sont infinies et habitables, le poète continue de tracer sa route avec les moyens de la poésie, de cette enfance qui « connaît en méconnaissant. » Ratimir PAVLOVIC est sans doute un descendant d’Alfred de VIGNY ! J’ai beaucoup pensé à « La maison du berger » en lisant ces entretiens, essais et discours sur la pensée créative et scientifique contemporaine. Un homme y parle de la poésie.

L’homme et le livre tomberont un jour dans le domaine public. Et non pas dans cet oubli qui inspire à Louis NÉEL cette réflexion pavlovicienne. « Je vous laisse deviner à qui la faute. Seule la qualité créative ou scientifique est capable de remédier à ce problème. »

Patrick CINTAS

 

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Luciano MELIS éditeur
Par Bernard MAZO
Publié dans Aujourd’hui poème - Carnet de route

À l’heure des regroupements de dizaines de maisons d’édition sous la bannière capitalistique de quelques conglomérats aux objectifs purement économiques, de ces véritables « Maîtres des Forges » captant à eux seuls plus de 80 % du chiffre d’affaires de l’édition française, comment peut-on résister et survivre lorsque l’on est un petit ou moyen éditeur indépendant ? Comment surnager lorsque l’on continue à vouloir faire connaître la littérature - prose, poésie, essais - authentique, novatrice, parfois dénonciatrice ? Oui, comment s’installer dans la durée avec des moyens de diffusion modestes et uniquement relayés par quelques libraires de même sensibilité et qui sont les seuls et fragiles passeurs de cette littérature qui a tant besoin de la durée pour être lue ?

Jean Orizet-Luciano Melis-Ratimir Pavlovic
Ph. DR Claire Garate

Et pourtant, cette cinquantaine - voire plus - d’éditeurs ne renoncent pas, ils se battent avec leurs pauvres armes, leurs convictions inébranlables. Ils sont l’Honneur d’un monde des Lettres devenu formaté, écoulant des produits marketing frelatés et bassement racoleurs. Ainsi en va-t-il de Luciano Melis dont les éditions sont basées à Colomars dans les Alpes-Maritimes. Comme nombre de ses confrères Melis ne se contente pas d’éditer des auteurs rares, qu’ils soient poètes, essayistes, ou encore artistes, mais iI sillonne sans relâche tout le sud-est de la France, expose ses livres dans tous les salons du livre, tout cela pour faire connaître ses ouvrages. Cette passion lui vient sans doute de l’admiration - pour ne pas dire la dévotion - qu’il n’a cessé de vouer à cet extraordinaire personnage que fut André Verdet à qui j’ai consacré, il y a deux ans, au moment de sa disparition, un article dans Aujourd’hui Poème, André Verdet grand poète hélas trop méconnu, Verdet grand peintre, Verdet grand Résistant et compagnon d’infortune de Desnos à Drancy, Verdet ami de Prévert, Picasso, Cocteau, Miro, Braque qui l’illustrèrent. Une dizaine de ses livres, dont nombre d’éditions d’artistes, figurent en bonne place dans le catalogue de Melis où figurent également des recueils de poèmes comme ceux de Cocteau, Jean Orizet, Béatrice Bonhomme, Daniel Gélin. Tout ceci pour saluer la sortie chez Melis d’un monumental ouvrage en deux volumes. La pensée créative et scientifique contemporaine de Ratimir Pavlovic, poète, philosophe, critique et traducteur. Le premier tome rassemble ses entretiens avec 21 prix Nobel, le second consacré à la littérature d’aujourd’hui réunit des entretiens avec des écrivains tels que Poirot-Delpech, Rinaldi, Nourissier, Claude Mauriac, Nadeau, Berger, Glissant, Faye... Une entreprise unique et d’une richesse flamboyante.

Bernard MAZO

 

Bel et juste hommage à Luciano MELIS qui répondra à nos questions. Dans un prochain numéro de la RAL,M.

MELIS éditions
46 avenue du Train des Pignes
F 06670 COLOMARS
email : melis.editions@wanadoo.fr


[1] L’étranger.

[2] L’oeil et l’esprit - incipit.

 

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