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Article publié le 20 mars 2016. oOo Un jardin intérieur avec dame. Aux pieds de la dame éclabousse un clavier dans la mare. Feuille pierre ciseau et des arbres qui flanchent de petits lionceaux. Des lointains sans perdre de vue ses genoux qui ouvrent le passage avec sa trajectoire et ses déplacements. Robe tendue à composer sur les collines et leurs mamelons. Et plus vraiment assise la situation. La chaise est au vertige. L’odeur de géranium de la chambre végète dans son écriture. Un parfum se décline et devient indécent sous l’aisselle mentale une pelle un râteau font le lit où s’étendre. La dame a cultivé une logique sous son vêtement qui est comme un jardin pour éradiquer l’autre qui est sans collines. Sans aucune raison sont venus les lionceaux sur les griffes naissantes fortuites de rien. (Peut-être les genoux cités un peu plus loin dans le zoo de l’écart).
Tu me dois ta photographie.
Paul Verlaine |
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