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Article publié le 16 octobre 2016. oOo D’arbres qui se balancent à droite et à gauche, Alentour, des reflets dans l’eau, dans les vitrines De la ville instruite de notre présence En cercle à l’infini, et ses laboratoires d’horizons, les branches
(La liste des cours, des conférences qui Ne sont qu’étrangetés et qui ne vibrent pas Dans la tête, le sang, mais perdent leurs oiseaux Avec leur cage d’air, redeviennent crachin, Nuages) et les feuilles
Jusqu’au bord des bancs deviennent invisibles, Où tant d’éloignements ont cours sur la chaussée Tant de pluies et d’ombrelles, tant de champs possibles, Où se perdre à revers.
La tête parcourue fredonne sa poussière Et sa sainte charpie des lignes qui s’allongent, Les mots et les troncs
Des feux de la passion, dans le fruit mûr du rire, C’est un autre envol vers la vitre du lit, Cependant que la rue se couche insomniaque Sur tous les visages
Et ceux de ces personnes qui passent l’instant Où nous nous dépassons.
le vase dit sa chance à la fleur l’auteur |
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