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Article publié le 7 mai 2017. oOo C’est vrai que la page est comme un os de seiche qui a la blancheur de la robe mariée à la noirceur des mots. Elle picore un ciel lavé à la salive branche de l’oiseau bavard des jours en joie. Ces jours sont les genoux des femmes vues assises sur les bactéries des louches bancs urbains. C’est vrai que quelque chose bouge dans la tête qui s’est trop penchée sur le buisson d’images déjà découvertes (déjà prostituées ?) Un papier souillé et mis en boule oscille au vent qui le picore et s’entête à rouler froissé comme un linceul où se délecte un mort.
On n’a même pas la clarté intérieure de l’œil Pierre Reverdy |
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