|
Navigation | ||
[E-mail]
Article publié le 29 avril 2018. oOo Des remords qui s’affinent deviennent baisers. Ne connait de remords que le mot comme un trou. Un seul regret est cette étoile peinte sur le mur. Car le mur est ouvert corps de femme et la mer avec son corps d’athlète. On parle poésie dans les moindres recoins de la chair avec l’âge plein d’alternatives. Et c’est la poésie dont claquent les volets aux cuisses de promesses en lignes mi-closes. Les remords sont les mots le poème qui vient et n’est jamais venu à peine parvenu mais comme est apparu dans ses plis ses rideaux. Visage qui s’égoutte sans rides que l’eau baigné dans son mur blanc. La tête son clocher est son troupeau qui mord une herbe mal venue une herbe remordue par le corps trop mal tu qui sonne à tour de bras son énorme horizon.
L’étoile lourde du beau temps s’ouvre les veines. Paul Éluard |
Revue d'Art et de Littérature, Musique - Espaces d'auteurs | [Contact e-mail] |