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Article publié le 10 mars 2019. oOo Après la pousse, j’ai tenté avec répugnance de parodier ces parpaings, où mon front se crashait, créancier et crawleur. La pourriture, c’est mon byssus. Loin des gardes-voies, je confronte le mouillon à mes cicatrices, je ne veux pas m’étancher, je suis sans calmants, le père d’un estuaire, où les marées estivent mes gangrènes. Tout conduit le poète au rabot. Ce dernier, turpide et marégraphique se met à écrire, digne de sa pollution. |
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