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Article publié le 2 juin 2019. oOo Une poussière monumentale parade en la contrée. C’est un lieu caillouteux et sale pour y vivre les genoux blessés. La vache-monseigneur du ciel mâche l’étable où être jusqu’au veau de la maigreur du pis. La contrée du fermage éternel et cocasse et notre boucherie la peau les cornes tout. Mugissement compris la musique des sphères celles de la fermières des attraits majeurs à glaner dans les claies des joies microscopiques les seuls monuments colossaux visitables. La contrée met ses charmes nus dans l’harmonium compissé des genets et des bouses d’extases. Et ce n’est pas un psaume mais le grincement du plancher où la vache rumine la vie.
Un rien sonne au réveil. Jacques Cauda |
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