La première face, par exemple, diffuse le logos. Tel un rayon de lumière, il se propage, de manière autonome, dans un sens réciproque.
A partir de cette base, sur l’un des côtés, brille l’intellect.
Les affinités se matérialisant d’un cortex l’autre, les faisceaux d’accord et de désaccord circulent aisément, recouvrant une grande partie de la surface totale.
Jusqu’à ce qu’une autre face ne lui succède, vecteur des fantasmes. Le masculin et le féminin s’expriment et s’organisent, sont en dialectique. Des entrelacs apparaissent. Une dynamique se forme.
Elle nourrit, sans doute, la face opposée, irradiée par l’affect.
Cette matière à la fois palpable et invisible est omniprésente, capable de combler les espaces vacants entre les corps, les temps d’absence, capable de tout compenser. Tout surmonter.
L’autre face, au-dessus, est le réceptacle des souvenirs. De ses fractions temporelles où le vécu individuel et commun affirme son aspect concret, des souvenirs qui se construisent tandis qu’ils sont évoqués.
La face ultime est entièrement chimique.
Oui, la chimie est totale dans cette face, dans cette dernière figure géométrique, alliant les corps et les cortex, agrégeant les dermes, les esprits ... et mariant les intentions humaines qui se développent à l’infini, se renouvelant sans cesse, dans une extase commune.