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Lilotte de la Busserine VII et FIN
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 Article publié le 23 juin 2019.

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 Au secours !

 Assis dans cet infâme mélange d’eau salée, de fioul lourd et d’huile d’un moteur exténué, je rends mon tablier. Jamais mission ne m’a paru tant… tant… enfin quoi du n’importe quoi. Une vague impression d’avoir été entubé, et je reste poli, par le sieur Patrick Cintas. Lui et son acolyte Pierre Vlélo sans doute, m’ont manipulé de toute première.

« -vous êtes invité à participer au programme Luce. Pour le bien de la chrétinité » qu’il a dit dans sa revue, celle qui te prend et t’englue dans une littérature tirebouchonnés, dans une flopée d’articles à cache-cache sortant de tiroirs aux fermetures tarabiscotées Et, ayant étudié le dossier, je lui ai fourni ma meilleure agente. Une métisse de toute beauté à son tour affranchie par mes soins.

Sauf que… le Patrick est plus tordu qu’il n’y parait ! Son histoire de Luce partie rejoindre son Karim Lebandeur allah Braquemard radicalisé sur un bateau à voile, ca, nom d’Allah, il fallait l’inventer. Les ressorts de l’intrigue se sont montrés encore plus retors que je ne l’avais imaginé. Je me suis embarqué, c’est le cas de le dire, dans un bastringue qui m’a dépassé. Mon adorable noirpiotte Lalie Winston Duck a formidablement bien travaillé, ne se doutant pas un instant que je la suivais comme son ombre (hé c’est beau l’électro nique) elle m’a mené au Long Song. De loin j’ai observé les personnages à la fois croustillants et inquiétants qui grouillaient autour du voilier en cale sèche.

Le Karogne, cette charogne de capitaine manchot obnubilée par sa baleine blanche qu’il poursuit sans répit, les deux matelots matelottes Jules et John, l’homme invisible : le fameux Karim allah Braquemard, sa Luce attirée par une importante bosse de braguette( le même renflement qui a par la suite conquis Lilotte, l’impensable sergent Yupala, Gardia Civil agent de la Pape Hottée parfois appelé Tupala et d’autres encore qui valent chacun leur pesant de cacahouètes.

J’ai réussi à libéré la Marseillaise Lilotte de la Busserine. Amenée presque dans les bagages de mon agente, elle était retenue et niquée maintes fois tous les jours par un vieux pêcheur puant. Elle ne voulait pas me suivre tellement qu’elle prenait son fade. Toujours en suivant mademoiselle Duck, j’ai fini par mettre la main sur Luce, pas que la main d’ailleurs.

 Et là, je suis véritablement tombé dans le vicieux traquenard du Cintas .

Une Luce qui se refuse désormais à porter un pantalon ; trop de temps pour l’enlever dit-elle, kifkif pour la petite culotte… Mais Dieu que Luce est belle ! J’ai voulu me réfugier sous sa jupe et l’odeur du foutre de Karim m’a filé le tournis. Enfin, comment en être certain, si le Karim en question n’est finalement qu’un nom sans visage pour moi et surtout que la Luce accueille entre ses jambes tout ce qui lui tombe sous la main. Y compris les deux matelots-matelotes qui ont fait la relève et marqué des heures sup pour honorer la demoiselle.

L’os du cachalot a envahi le Long Song. La folie du capitaine qui ne cesse de voir son « fouking Mobby Dick » comme il dit, dans sa longue-vue et tourne finalement en rond dans l’eau salée. Il aurait filler sur Mostaganem ce grand con. La folie de Luce pour qui toutes les bites sont celle de Karim et la folie d’une noirpiotte des SS français, (services spéciaux quoi), aux fers en fond de cale. Une bulle énorme qui enveloppe désormais ma propre folie elle aussi croupissante dans le même caca.

Car moi aussi j’ai fini par me faire prendre et je git maintenant attaché aux côtés de Lalie Winston Duck. Ca m’apprendra ! Le Patrick peut toujours courir pour que je remarche dans ses pompes quand demain je serai sorti de cet imbroglio. Wouai m’sieur ! Que tu le sache ! J’ai fin par mettre la main sur ces fameux papelards qui vont changer le monde, moi !

Faudra me payer chérot pour ne pas les laisser entre d’autres mains plus musulwomen. Because je viens de me rendre compte que l’avenir de la planète est moins important qu’une bonne pipe de Luce !

Oui ils sont là. Pas de microfilms dépassés par la mode, pas de textes codés.non plus, ceux qui demain seront distribués dans tous les foyers où l’Islam est roi. Ceux qui révèlent la formule magique pour venir à bout de l’infidèle. Plus de putains de juifs, de saloperie de chrétiens, de merde bouddhiste. Rien que nous, Allah est grand et nous allons l’exporter aussi chez les extraterrestres. Oui, tout est là, sur un tout p ‘tit truc nommé clé USB qui pourrait contenir des chiées de gigas.

Ces putains de papelards écrits soi-disant par Karim comme s’ils étaient le dernier verset du Coran ne représentent en fait qu’une infime partie de la capacité de la nouvelle clé (USB) du paradis des musulmans. Le reste n’est qu’une infinité de photos de cul… Le Karim, si c’est bien lui l’auteur de cette petitesse, ne doit pas être capable de réécrire tout le texte sacré original.

Ecriture moderne, adaptée à nos jours de plus en plus technos bien que pas toujours logiques. C’est vrai quoi, se fier encore à des écrits plus vieux que le Mathusalem est aberrant. Mahomet ne se déplaçait pas en Boeing ni en Airbus voyons. Vouloir appliquer la Charria en regardant des films pornos sur internet, ca c’est ce qu’il faut pour renouveler la religion. Regardez ces infidèles de catholicons, leurs prêtres disent la messe après avoir empapaouté des petits garçons. Remarquez qu’ils ont raison, les petites filles c’est du franchement dégueu !

Ha, au fait… aux dernières nouvelles la fumeuse Lilotte des quartiers nord de Marseille tapine désormais dans le port d’Alicante. Assise sur une bite d’amarrage elle lève ses michetons en rêvant qu’ils aient la même dans leur futal. Quant à Luce, seul l’abominable Patrick Cintas doit savoir où elle se niche désormais et à qui elle taille ses fameuses pipes. Patrick, ce coucheur de merveilles sur lits de papier ou écrans d’ordi. Ce monsieur Ô.

Pour preuves : ô sirènes, ô missives, ô sourates, ô persée, ô mes aïeux mes, ô miss France, ô mes juges Ulysse, ô anus ; ô enfer, ô faccus, ô mes sœurs, ô vous, ô Islam, ô maman, ô jamais, ô putain con, ô Hamas, ô légion, ô messires, ô Ismaël, ô pastilla, ô Sorbonne, ô Palestine, ô mes yeux, ô Joyce, ô Elpenor, ô salades, ô marées, ô culuc, ô trahisons ô châteaux cuisssssses, ô tempora, ô France ô maitre, ô capitol, ô croix, ô maurras, ô misses, ô merde, ô sang et ô train. (Chercher l’intrus). Sans compter tous ses ôs d’interrrrrrminables branlettes capables d’assècher les couilles de l’humanité, côté masculin il me semble.

Ho qu’il m’emmerde et me passionne ! Mais…

 

Basta, stop, prou en Catalan, ça souffit, yen na marre, ou on me paye (et pas qu’un peu), ou je file la planque à Karogne. Celle de la clé USB sacrée.

A bon tendeur salut !

 

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