Sur la table

En la fragilité même

La voix d’un gosse auquel on fait subir

Tourments et changements...

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Comme une fumée double

-------------------------- qui s’élève

-----------------------------------------paroles

-----------------------------------------perdues

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Je sais, dès lors, ce qui ressemble

Parfois à un sexe

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Il me faut reconnaître que je suis attablé

Je mange ma cervelle (...)

Et tout ce qui a l’occasion d’intervenir sur ce confort

---amorphe, clandestin

Et déjà mortifère

--------------- Menace ou étudie :

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---Ce que je suis — sa proie ---

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Comme un festin que je serais

Pour une avidité qui n’était pas encore la mienne

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Dehors a l’odeur de l’hiver

Lors il me brusque jusqu’en l’effraction

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Parmi une montée de sève mienne

J’ai jonché à-demi véhément le grand Paris

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J’admets

---------- avoir marché longtemps

----------------------------------------------- sans jamais

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---rencontrer

---la pluie ou mes

---parois

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J’admets aussi avoir parlé

Dans un téléphone qui avait un certain talent

Et le disait

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J’en abordé son verbe

avec

J’ai joué à des jeux osés

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Je lui ai raconté mon érosion

Pleurant

Sur sa voix grave sans répondre

Qui déshabillait

Un escalier

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Je

vis ce sein et

le vis se cacher-----------------(il n’était pas que mon toucher

-------------------- ------------ pour écarter

----------------------- --------- de mes deux yeux ses lèvres

-------------------------------- ---------------------------------- (sympathie

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Mais mon odeur

acide - sans savoir, du reste

répondit

---------- et insista aussi

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dehors l’argent frémissait à tue-tête

du haut des arbres des grands magasins

badeaux, passants et passagers

agenouillant sur le pavé leurs monticules

---de cadeaux

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Toute une place de la République

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on verrait ma sueur

en une fuite bien certaine : mangez mon foie

en transe...

j’ai eu pour vous

circonscrire ou exorciser

fonction de fou