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Le Morio (in progress)
Chapitre premier (Le Morio de Patrick Cintas)

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 Article publié le 5 janvier 2025.

oOo

Maybe every novelist wants to write poetry first…
William Faulkner.

 

En ce moment (c’est l’automne), les hirondelles sont sur les grues. Je devrais dire : sur les ailes des grues. Demain, les hirondelles ne seront plus (là), et les grues ne seront toujours pas des gruidés et leurs ailes redeviendront des flèches et le grutier entrera dans sa cabine et la toiture écosystémique du futur centre culturel de la Cartoucherie (le quartier de Toulouse où je vis) continuera de se couvrir car l’hiver approche et la Russie n’a toujours pas perdu le Nord ni la guerre. Au sein de l’Hôtel d’Assézat, palais des floralies locales et de leurs odeurs de sainteté, Jean-Pierre Siméon, « qui n’est pas d’ici », veille au grain, car il ne pleut toujours pas sur Toulouse alors qu’il a plu à Albi qui a donné son nom à l’Histoire, Toulouse n’ayant rien donné sous cette forme, sauf à se retrouver en homophonie dans le New Valois de William Faulkner, roman hemingwayen tout compte fait, avec le même sens pourtant, ce qui ne peut constituer une homonymie. Qui ne chie pas au moins une fois dans sa vie n’est plus de ce monde. Pitié pour lui ou elle.

Sur le pont des Catalans je considère la série des ponts jusqu’à l’île du Ramier qui ne vaut pas celle de la Cité du point de vue germanique, car j’ai l’œil dans ma longue vue et du bon bout, il y en a deux et je sais faire la différence entre un et un. Deux et deux font quatre. Vous connaissez la suite.

Non, ce n’est pas dans le jardin de Raymond VI que je me livre à ces intenses réflexions. Ni chez le Bistrologue. Je vois… (j’ai l’œil dans la longue-vue, ne l’oubliez pas en lisant) je vois la Poésie !

Ach ! Mystische Poesie…

Initialement, j’ai cru comme beaucoup que la Poésie ça se récitait. Je mets récitait au lieu de récite parce que c’était il y a si longtemps que je ne me souviens pas de tout. Mais je me souviens très bien de cette seule vérité valable pour moi comme pour les autres à cette époque de bombe atomique cubaine que la Poésie c’est ce qui se récite et ce qui ne se récite pas n’est pas toujours aussi intelligent ni juste que ça voudrait en avoir l’air.

C’est plus tard que j’ai su ou cru savoir que la Poésie ne se récite pas forcément, ce qui voulait dire soit qu’il existait (même remarque que pour récitait) une autre Poésie, soit que l’une ou l’autre n’en était (idem) pas. Et c’est ainsi que je ne suis pas devenu poète, ni tout seul en me la caressant, ni avec les autres en prenant garde de ne pas me faire enculer : on sait quel prix Roland Barthes attachait aux joyaux de Tony Duvert.

Jusque-là, je n’ai pas vu ni indivis ni divis, sauf à me tromper de sens et à me retrouver ailleurs où il n’est plus question de Poésie mais de s’en sortir ou pas. Par contre, j’avais (imparfait toujours) bien compris que le prix Nobel allait et va encore aux métaphoristes d’obédience pindarique et non pas aux poètes véritables comme le fut, entre autres grands baiseurs face au collecteur de prépuces, Charles Bukowski. C’était, mais ce n’est plus hélas, un premier pas vers et non pas dans la Poésie, car on est prié de ne pas se lever dedans, malheur ou pas, c’est une question de principe.

Fort de ce principe, et sans interroger Jean-Pierre Siméon qui habite l’Ariège (ce qui n’a aucun sens), j’ai tenté, je dis bien tenté, d’écrire un vers qui ne ressemble pas au suivant mais lui va comme un gant et de doigt en doigt on écrit un premier poème avec à la fin un point aussi peu final que possible, à moins de croire en Dieu et d’assimiler le poème à la prière ainsi que le recueil au bréviaire. A frolic of his own (Gaddis).

Jusque-là, ça ne se divise pas, ni par zéro ni par un, ni par un de ces innombrables nombres qui n’en finissent pas de dériver sans jamais donner un sens aux cimetières ni aux champs de bataille, ni à la mer des Sargasse où nage le Pequod comme si l’existence n’avait pas de fin à force de tourner en rond qu’on est —excusez la tournure germanique de ma toute nouvelle phraséologie, j’ai dix ans à peine et je ne connais aucun luth constellé, même si je ne pèle pas aux tempes comme le Gide de Cravan, je grandis au Pays Basque où bleu le ciel est —quand pleut il ne.

Oui, oui, je me rappelle Berlin et après Cabaret on avait vu Théorème dans la même soirée et sur le même strapontin, ô Châtelet ! Que c’en était de la belle Poésie ça ! Pas Cabaret ni Théorème, mais la nuit en sortant de ce cinoche, à deux heures du matin et plus. Dix-huit ans et le Monde avait connu Woodstock et ses petits enfants de la bourgeoisie, ni révoltés ni brûlés par le soleil noir de la mélancolie : la Culture à la place de l’Art. Encore un prix Nobel. Ça commençait mal, cette fin de jeunesse ! Mais au bout de la rue de Rennes où s’accroupissent les rupins le boulevard croisait d’autres existences… Ah ! Il faut que je m’en souvienne et je m’en souvenais (jeu du présent et de l’imparfait, encore) —

 

Mais au bout de la rue de Rennes

où s’accroupissent les rupins

le boulevard croisait d’autres existences…

 

Les rupins, leurs mioches, futurs gardiens des maisons d’édition, des galeries d’art, des lieux de cultes, des boutiques branchées… faute d’avoir pu entrer à l’ESSEC, à Saint-Cyr ou chez Bocuse. Et comme l’un ne va pas sans l’autre (voir plus haut), les remontés du stade, de l’arène et des conservatoires du pignon sur rue. Dix ans et plus que j’avais commencé, et c’était pas le début !

La Poésie, ça n’existe pas, comme Dieu et le tralala. Mais qu’est-ce que ça attire comme parasites ! Que des mauvaises fréquentations ! Des instituteurs, futurs professeurs (tu parles, Charles[1] !), et des professeurs, des fois chercheurs, rarement trouveurs. Des bouloteurs de la fonction publique. Des m’as-tu-vu du service rendu avec ascenseur et parapluie. Des cracheurs de salive et des feux clignotants. Et de la Poésie en veux-tu en voilà. De la chanson au bon cœur à la dissertation au bon genre. Et ça prenait (voyez si ici le présent est de mise) de la place ! Si bien que la Poésie, qui était passée de la récitation à l’écriture en ce qui me concernait, possédait le terrain comme si je n’avais jamais risqué ma peau et mes vertèbres dans un match de rugby à XV ! Ailier droit que j’étais. Seul ! Seul ! Poussez-vous ! que ça hurlait les uns et les autres, en chansons et aphorismes, en slogans et en sentences, du genre « toute poésie qui la la la au point de rencontre du … et de la … est poésie par essence… » ou par existence, je ne me souviens pas de tout, c’est si loin, et le temps, vois-tu… Ach ! comme gueulait le Boche qui crevait dans une bonne page de Battler Britton. Hache ! agonisait celui qui était destiné à jouer le Frisé au sein de notre si poétique dramaturgie constructrice du récit déjà faussé par l’imagination.

Mais les Schleus étaient morts et enterrés quand on joua Cabaret et Théorème au cinoche du Châtelet. Et les alentours du Montparnasse se peuplaient des futurs propriétaires de l’édition et de l’art, de la culture même. Et si je ne voyais en effet toujours pas la Poésie se scinder comme noyau, toute parasitée mais entière, la culture ressemblait à un Berlin qui aurait pris une bombe à fragmentation (ne poussons pas le bouchon nucléaire, ça ferait, futur[?], trop convenu) de dimension cette fois universelle, avec autant de conneries que l’Humanité peut en concevoir quand elle se mêle de ce qui ne la regarde pas parce qu’elle y comprend que dalle.

Que peut comprendre de la Poésie un fauteur de chansons ? Que peut envisager de poursuivre, jusqu’aux étoiles (le luth) l’ergoteur qui ne voit pas plus loin que le bout de son nez ? Que donne celui ou celle (filles et fils) qui cherche le pouvoir et ne trouve pas autre chose pour satisfaire son goût de l’artifice, du coup dans le dos et de l’ivrognerie argentifère ? On est bien loin, Jehanne, du cahier soigneusement calligraphié et illustré, bien loin aussi de l’adolescence qui en riait, de ce cahier, sans le jeter au feu toutefois et même sans maîtresse au milieu. Nous n’eûmes pas de vacances cet été-là, à Paris, ni à Toulouse toujours jalouse de la chance qu’elle a, Albi (voir plus haut la remarque à ce sujet).

Voilà comment un simple cahier à couverture de plastique vert est devenu ce que peu considèrent comme de la poésie. Il a fallu traverser cette fausse pléiade comme Jean Bart montrant au roi comment il avait échappé aux Anglais, bousculant cette fois les personnages les mieux placés du point de vue de la Cour : « Comme ça, Sire ! » jouant des coudes parmi les perruques poudrées. Il n’y a pas d’autres poésies possibles dans ces conditions, même si ce n’est pas de la Poésie, si c’est autre chose, qui y ressemble toutefois, qui s’en approche, qui travaille, qui donne des coudes dans les côtelettes des éditeurs, galeristes, conseillers, ministres, et encore je passe les féminins pluriels sinon ça devient orgiaque, comme histoires à raconter aux petits enfants que c’est déjà des cons. Il n’y a pas d’autres vocations. Encore qu’il n’y ait rien de missionnaire dans cette sale histoire de vie à ne pas revivre sous peine cette fois d’y mettre fin non sans pratique exercée d’une forme de terrorisme qui ne dit pas son nom parce qu’il ne l’a pas trouvé, ô Poésie !

Tu parles si ça puait ! De la sueur, des aisselles d’enfants de la bourgeoisie, la grande et la petite, celle qui se croit mais qui peut, ya qu’à les voir se bousculer sur les planchers des salles polyvalentes de nos villages et sous les tringles plus commodes des théâtres des villes qui n’ont plus de théâtre que le nom, parce que les prénoms, tintin ! On n’appelle plus personne. On s’appelle. Ça Roland Barthes qui finit par criser parce que Tony préfère les cuculs et les biroulettes. En plein repas éditorial. Faut le faire. Et encore, j’y fais qu’allusion, pour rester neutre mais sans la fermer à jamais, la porte que j’ai sous le nez.

Certes, on ne peut pas empêcher un oiseau de chanter. Ni même de se cultiver et de partager sa culture avec plus con que lui, car comme disait Dali : « Lé plou con, c’est céloui qui paye. » Et que ça paye. Des Gainsbourg, des Baschung, des plagiaires qui réussissent encore mieux, du point de vue pécunier, que Molière et Camus réunis. De l’adolescence en vente libre. Avec ou sans dealers. Une fois que c’est parti, on n’arrête plus. Ou alors c’est qu’on est mort, mais on va citer personne pour ne pas blesser les familles qui devraient avoir honte mais qui préfèrent encaisser. N’est-ce pas que c’est la faute des familles ? Et elles s’étonnent qu’on les haïsse.

Bien sûr, comme à peu près tout le monde, le cahier vert, je l’ai perdu. Ah ! n’allez pas croire que j’ai fait exprès de le perdre, que c’est arrivé parce que je l’ai voulu et que je l’ai voulu parce que j’avais changé. Rien à voir. Ou alors il s’est envolé vers d’autres cieux et je n’en ai rien su. Je me souviens de Maurice Carême, de Robert Desnos, de Paul Fort, de Jacquou le Pré vert et de tonton Charlie et de son chat, du vieil et inévitable Hugo Nox. Rien sur le Desdichado, mais ça se récitait sans esquinter les papilles qui n’ont pas encore subi les assauts du goudron et de l’éthanol. Ça faisait poétique et on devait savoir pourquoi, sauf que maintenant on ne sait plus, ni même comment et encore moins avec qui. Il est bien gentil, Marcel, mais on a beau essayer, sur nous ça ne marche pas aussi bien que sur lui. Il devait s’y connaître mieux que nous, qu’on a que Modiano et Ernaux comme Proust, d’après Alfred et la planchette qui lui sert de jugement. Oui-Ja. Comme si on était né avec la Poésie à la place de l’anus et que la merde n’en était pas. Voyez là encore l’usage que je fais de l’imparfait alors que c’est maintenant que ça se passe. Le Montparnasse habité tout autour par des maisons d’éditions, des galeries d’art, des boutiques qui savent tout mieux que nous qu’on est des cons si on n’achète pas. Rennes, Raspail, Saint-Benoît, Germain le Saint, Michel la fontaine, ils sont tous là, dans les antres de la pierre, placements sans diplômes ébouriffants, mais avec ce qu’il faut pour que ça tienne debout et que la famille ou le parti croie, mais pas dur comme fer (n’exagérons rien), que ça pourrait marcher, que des Ernaux yen a des tas, qu’il suffit de tomber dessus, comme on fait avec les cyclistes des trottoirs en sortant de son chez-soi, que c’est papa qui crache et maman qui allonge et s’allonge, ou alors on fait ça tout seul, avec encore plus de saloperies sur la langue et dans les mains. Pédants et salauds à tous les étages et le gaz au cul des bons ouvriers.

C’est vrai que quand on pète on fait pas autre chose, sauf de se préparer à rire ou à faire comme si c’était pas soi, selon les circonstances. Du beau monde. Ça choisit selon doctrine mise en jeu par pur souci commercial. On est rarement convaincu chez ces gens-là. On se force, on s’oblige plutôt, parce qu’on a de la politesse et que la politesse, Roland Barthes a fini par laisser tomber et par chercher à se faire casser la gueule par son Tony, en pleine célébration du rite littéraire qu’à un doigt près c’était de la poésie et rien d’autre. Mais c’était du roman et Roland Barthes est rentré chez sa maman à lui tout seul en chialant comme un gosse sauf que les gosses ça n’a jamais mal au cul sans constipation ou délices du martinet, ô comtesse !

Et l’autre qui nous met de la métaphore à la place de la poésie. Lui qui n’en a jamais écrit. En tout cas jamais publié. Ça avait dû le titiller de temps en temps. Ça vous titille tout le monde, la Poésie. Mieux que l’intelligence. Qu’on éprouve soudain le besoin de la publier ou qu’on s’en foute finalement que ça n’ait pas convaincu la belle d’un soir ou d’une semaine. On ne baise pas aussi facilement chaque week-end. On passe de la poésie à la main sans interruption. Et on finit par jouir quoiqu’il arrive, à moins qu’il n’arrive vraiment rien et que c’est la faute à la poésie. On a alors le choix entre la prose de l’essayiste ou du romancier, voire du journaliste ou pire du conteur si on se sent taillé pour l’imposture et son « spectacle vivant. » Tout le monde sait ça. Qu’on soit puissant par filiation ou misérable par hasard. Qui ne tente rien n’a rien. Ou s’il a, il n’en profite pas comme on revient des champignons.

Pindare et ses enfants. « Je lui ai volé plus d’une métaphore, » avoue l’un en parlant de l’autre pour ne pas le nommer. Perdue la noble faculté de demeurer naïf et entier devant ce qu’il convient d’appeler la beauté, avec ou sans Sade d’ailleurs. Perdus ces mots qui venaient naturellement comme s’ils avaient pris racine dans le cœur et entrepris de traverser l’esprit pour l’éclairer et le donner à lire, avec ou sans luth. Perdus et il faut craindre, avec Alfred, qu’on ne s’y retrouvera sans doute jamais plus. Or, sans les mots qui vinrent d’abord, avec leurs objets et leurs ombres et reflets, nous ne parlons plus, nous jacassons, nous médisons, nous répétons ce que l’autre veut entendre, nous communiquons au lieu d’observer. Que de trajectoires égarées à cause du manque de goût et de culture de ceux qui possèdent et ne donnent pas !

Certes l’assassinat punitif, naguère envisagé comme action directe, n’est pas non plus très poétique, avouons-le, à regret. Ça manque de rimes. Une grande claque dans la gueule, dit le poète, ça sert à rien, mais ça soulage. On peut voir les choses comme ça, histoire de sauver sa peau en ces temps de collaboration. Encor faut-il s’y voir avant que d’y aller, écrit Boileau (si je ne me trompe pas). Naguère encore, ce détachement frise la frivolité, ce me semble. Est-elle seulement de mise à l’heure de se mettre à la table où personne, même par courtoisie, ne vous a invité à prendre la parole ? N’est pas hôte qui veut. On a alors tout loisir d’attendre.

Pourtant, cette perspective de saint-glin-glin s’est quelque peu raccourcie, comme en un tableau baroque, depuis que les moyens de communication sont entrés dans nos maisons. Mais, dit Valère Novarina, « plus on a de moyens de communication, et moins on communique. » Entendre par là que la Poésie ne passe pas par ces canaux creusés on ne sait trop comment dans la transparence de l’air qui nous entoure et qu’on a de plus en plus de mal à respirer sans risquer d’y laisser des plumes, voire la peau qui les laisse parfois pousser sur nos membres énervés. Quelle allure de poulet échappé de l’abattoir nous avons alors ! Et les héritiers se marrent. Ils voient les poulets plumés, donc sans plumes et non avec comme le laisse entendre cette épithète mal venue, errer sur leurs trottoirs et entre copains se caressent les joues et le menton, comme fait papa au Conseil et comme maman aime à l’imiter au dessert en se touillant la langue qu’elle a pas plus française que tout le monde, la salope. Mais est-on invité à ces repas familiaux d’un autre empire que le nôtre pour en témoigner ? Nous voilà condamnés à imaginer ces conversations, ces attouchements, ces parodies d’inceste, ces haleines sucrées comme des petits Jésus avant le massacre. Condamnés à ce roman on est. Et on s’y laisse aller. Tournant le dos à ce qui aurait pu être de la Poésie, revisitant ces personnages par les seuls moyens de l’hypothèse ou du fantasme selon le prix à payer.

Ach ! L’anche ti pissare ché zuis et l’anche ti pissare ché restérai. Gué za fousse blaise ou non ! Mein Backpfeifengesicht !

 

Fabrice de Vermort

auteur de ce roman

qui commence ainsi…

So that :

Chapitre suivant la semaine prochaine. Et ainsi cette année 25 jusqu’à épuisement et fin de ce roman, cadeau de la « start-up » Patrick Cintas.

On peut en évaluer la pertinence en consultant la page de [La Trilogie de l’Oge] sur le site de l’auteur.

Question technique :
Una novela larga siempre será una sucesión de pequeñas novelas cortas. Pío Baroja - La intuición y el estilo (Memorias 5)
La réalité ne peut pas apparaître dans une histoire unique, mais dans une juxtaposition d’histoires incertaines. ARG


[1] …sauf que Ricardou et Jeury le furent… mais c’était des faux… J’en connais d’autres que c’est des faux, alors… comme quoi faut pas généraliser comme dans la Bible.

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