dans l’heure incertaine
et le vent qui passe
l’ombre meurtrière
et l’hiver qui se penche
en morsures de givre
sur l’automne évanouie
puis sombre dans le dédale
des abords du silence
imaginaire des nuits
dans tes reflets d’opale
tu calme les douleurs
ou ravives les plaies
des êtres perdus
seuls si seuls dans la nuit
loin d’un monde aveugle
qui se refuse à voir
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