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Article publié le 6 octobre 2013. oOo Arbre dehors ses couloirs supputés lointains. Ombres jambes furtives traquées. Plaines vagabondées freinant es crinolines indéterminées. Fait naitre et étire et indécence bouge. Fait formes s’étale en lessive et ballet. Fait pointe et dirait-on masturbe un pas de deux. Vient à être chambré racine le dedans. Echafaude l’assise en proie à agitation qui fait arbre de tous cotés qui fait jambes feuillues sent le nu. Arbre dehors et rue et nudité la plus agressive à ravir. Arbre est jambe levée pas lavée. De plus en plus tirée à hue à dia fouettée cette colonne oignon ou Morrice. Arbre et son épaisseur lessivée vitesse peau à peau sans forme mais linéaments d’images étirées. Cornaqué par l’envie furtive de noter l’interne muscle honteux mouillé donc aqueduc acheminant un arbre. Pourtant ce qu’il regarde n’est pas un arbre. Ce qu’il dit est un arbre un mouchetis de vides crispés sur du plein. Du plein emploi de mots dans la vue dans l’oiseau. Dans son noir éclatant mamelonné vers lui son clapet rétinien. Ne regarde pas l’arbre pourtant dont il parle l’arbre dont il est. Ce qu’il est étiré jusqu’à en perdre sens à même sa forêt qui s’étale et cascade court le frêle étang. Sur des jambes furtives d’étang qu’il écorce des jambes de chaise car il n’en a pas plutôt de lessive agitée par le gant. Vu du haut de cet arbre qui s’étale ici qu’il ne regarde pas mais s’arbore et s’afflue sur cela sans muret illimité ouvert et sans commencement.
En arbres incorporé, par l’herbe ombragée, l’amour depuis lors. Une tache aveugle.
Anneke Brassinga |
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