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Poésies de Pascal Leray
Livraison ordurière
[E-mail] Article publié le 27 avril 2014. oOo Je ne sais pas si mon corps m’appartient. Pour mes rêves, en revanche, je suis confiant. Une lumière syrienne traversera ce soir. Même tes mensonges me seraient vrais. Tant pis pour qui ? En ces ténèbres, présence et repère se pensent ensemble. Rêve et espère. Septembre est secret en ses tendresses, même. Non, il t’a jeté au monde comme une bombe désamorcée. Moi c’est pareil.
pli pli pli pli pli pli pli pli ur pli pli ur ? oui ur pas ir non pas ir ur et pas ir ir et pas ur parfois pourtant mais pli toujours pli encore et toujours pli et pli - donc
et cependant - ur nonobstant ur pli - c’est clair ! c’est très clair ! pli pli pli - pli - pli pli - pli pli pli - pli pli - pli pli - pli pli pli pli - pli pli - pli pli - pli pli pli - pli voilà qui est clair - plus que ça même pis que ça ou pli que ça encore plus que pli peut-être : rien. Non. Rien. Non. Pas. Non pas. Plait-il ? Non. Rien enfin. Vous voyez quelque chose, vous ? |
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