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La piste du succès De la providence
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 Article publié le 27 février 2006.

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La piste du succès

La route est un passage par où passent plusieurs individus pour atteindre un lieu ou un but. C’est par cet ESSAI que je trouve à épiloguer modestement sur les agissements de certains hommes qui croient en l’existance d’une route qui déssert l’homme au succès. Je crois savoir qu’il n’y a qu’une piste qui mène l’homme au succès. Tout de suite notons la différence de la richesse des hommes au succès de l’HOMME car ce matin, certaines routes sont crées et prétendent mener les hommes au succès. (Telle obédience religieuse, par telle route mène ses adeptes à la richesse.) Est-ce là le succès ? Je crois savoir que non car le succès est d’abord le bien être de l’aspect spirituel (sans dettes morales) et physique. Je dirais qu’il s’agit, dans ce cas d’espèce, d’une opération faite sans tenir compte de la retenue ; Autrement dire, une opération non achevée. Contrairement à la fameuse route de la richesse, la piste du succès est très tortueuse, très capricieuse et embuchée. La piste du succès a de la rosée de laquelle faut-il consentir se tremper. Elle a de la buée ; faut-il beaucoup de détermination et de flair pour parvenir à la fixer. Elle est recouverte d’herbes qui la redissimulent après le passage d’un individu. Le début de la piste du succès est large et peut contenir plusieurs aventuriers qui s’égarrent au fur et à mesure que se multiplient les embranchements et les détours. (Plusieurs individus peuvent avoir un fond de commerce, mais seul le nombre à l’arrivée compte !) D’aucuns diraient que naissent certains dans le succès mais je leur rétorquerais qu’il ne suffit pas de se retrouver dans les champs de sauterelles pour les croire toutes à soi car si l’on trempe de l’huile dans l’eau, elle en ressortira sans aucune goute de cette eau. Il se trouve des gens qui, nés dans une tour de succès, de par leurs comportements et actes, rongent les piliers de ladite tour. Peut-être que je ressasse, mais il n’est pas superflu de dire que le succès ici est l’association de la richesse au savoir être et au savoir vivre, chose qui a presqe ou toujours échappé aux hommes.

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De la providence

Lorsque l’animal tombe, les flèches se rencontrent devant lui.

Tel un animal à la chasse, l’homme est pourchassé par les hommes et ce n’est que par providence qu’il échappe à certains guets. C’est souvent par la force de la providence que l’homme se retrouve à contre temps à contre-lieu, évitant ainsi certaines flèches qui lui étaient destinées. Les dents que nous ouvrent certaines personnes deviennent des flèches lorsque nous leur tournons le dos. Mon scepticisme quant aux fausses dents(ou flèches)tient à ceci : Il n’est pas facile de savoir si les dents que nous ouvre un crocodile sont destinées à nous dévorer ou sont-elles sinonyme d’un sourire. Gardons-nous d’une étreinte amicale coupable. La clarté des dents des hommes n’est toujours pas le symbole de la couleur du cœur chez les hommes. Lorsqu’ils les ouvrent, c’est au vu de démolir leur gibier, or que quant à l’HOMME, l’affichage des dents étaient destiné à exposer la limpidité du cœur. Dissimulé sous les herbes, lorsqu’un renard désire attraper une poule, il ouvre ses dents à une poule imprudente, qui s’y fait prendre. Lorsque l’animal tombe, les flèches tombent devant lui ; De là à constater que s’il ne tombait pas par tout hasard, il aurait été la cible desdites flèches. Je cherche sans succès à connaître pourquoi ce n’est qu’à notre absence que se fait la transformation de ces dents en flèches. Tout de même je dévine sans conviction que celà est dû à la lâcheté des hommes face à leurs victimes. Voici à propos une réflexion toute mienne : l’homme se caractérise par un (moi intérieur), d’où serait-il erroné de le personnifier de par la mine. Ce n’est que, hors des yeux, et rendu à lui même que l’homme a la lattitude de poser des actes qui lui sont caractériels, bonne preuve que les actes qu’il pose à cet instant là ne sont que des actes ignobles. Il est à constater que de tels actes ne relèvent que de la bassesse des hommes dénués de toute dignité. Et comme les hommes n’ont leurs taches qu’au dedans, ces taches restent invisibles. Je ne saurais coller cette attitude à tous les hommes de la terre mais je ne manquerais de dire aux hommes de la terre que de tels usages caractérisent les hommes d’ici.

MIEUX VAUT UN SOURIRE FRANC QU’UN RIRE COUPABLE.

 

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