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Article publié le 19 octobre 2014. oOo Préfère les liens à la cire préfère le chant. Écoute le chant sur le vaisseau du chant. S’attache au mât du chant qui fend le fond des vagues les ponts dégagés pour la respiration. Respire le plongeon dans la cloison de mer écoute et boit le fond. Liens serrés et le mât dressé l’apothéose serrée aux poignets hisse le pavillon. Préfère les cordes du chant vers ce lieu abusif de l’écume qui est étendue placée dans la distance non lue de la page épaule et mémento. Immobile et dans la vitesse comme un dôme d’une chevelure qui sert de bâillon ou cri sourd approchant. Suit les vagues les liens. Se déplace avec eux serrés d’une joie folle et l’espoir de ne jamais être ailleurs que dans ce chant. Dans l’espoir de coïncider avec ce rien et qui noue la distance au poignet et qui tire allant vers la rencontre du point invisible de s’être entendu. Les mots chantés dans la chambre d’à coté sont inévitables/ Mais c’est en vous que sera étudiée leur intelligence passionnée. John Ashbery |
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