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Article publié le 19 février 2017. oOo ----------------[…] et son chant qu’on redit faisant du mot un soir, du soir un matin
et, telle l’amie s’appuie contre une harpe amie, nous montre les chemins de son immortalité […]
[…] à l’instant, lumineux […] (tombe, feu lisse, feu noueux d’olivier,
lévriers gardant charrue […] noire violette au pied de sa citerne grecque bossuée) […]
que se tait l’instrument, au pied des citadelles […]
[…] bref écho du sort au creux du rien nocturne, et de la creuse amphore oblongue de nos vies,
qu’illumine soudain ta salive sainte, Amie, et l’aurore soudaine [, à] clairs chevaux
[…] hennissants […]
----------------[…] fougueuse […] mais de ta bouche fardée d’ombre [a]doucissant, de nuit, le cœur du temps […]
[…] vieille amphore de vin (point si vieux que ça) dont seul notre cabaretier, le sort, pourra descendre
desceller le cachet armorié, avec l’olympiade et l’oublieux millésime de récolte […]
< ra/ /meaux/ char/ /gés/ d’em/ /bruns,/ co/ /mme aux ¦Enfers¦, et de mille ¦â/ /mes¦ neuves > |
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