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Article publié le 7 juin 2017. oOo Or tu oublies déjà cette inscription - - nul ne saura ton nom - et ni les lèvres ni le temps -
- ni ce poëme - et moins que ce poëme - alors que tu l’inspires - et ni ta bouche ni le jour - - ô brune calme et silencieuse (comme le bois silencieux double le bois ouvré d’un pur son silencieux) -
- et que sera ton corps nu - où sera-t-il dans vingt siècles étrusques et quelques autres (ô longue brune cachant de tes longs cheveux noirs ton visage d’un jet de tête, quand tu veux) -
- vent, marbre, durées - sobre faîtage d’un reste d’aqueduc - - aboyée par la mort -
- au pied du volcan - - quand il aura jailli ? |
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