Le phénix est là.
La structure narrative et ses mouvements de recherche, et son avancée constante en terre inconnue recouvrent, à nouveau, les ruines anciennes que sont les personnages, l’histoire, l’intrigue, la linéarité temporelle ...
La psychologie ...
L’ossature narrative, le squelette, l’édification se transforme, peu à peu, en architecture.
Sans dénomination.
La puissance subjective est à son apogée, l’auteur se transformant en vecteur au profit de la littérature, de cette entité qu’il sert, désormais.
En toute lucidité.
La puissance du flux narratif, maintenant, emporte tout, laissant comme vestiges des éléments épars - objets, espaces, intentions, spéculations ... - , des matériaux composites prêts à servir, encore. Prêts à être repris. A revivre. Pour montrer que la fixité n’est qu’artifice. Que le mouvement est le maître. La vie.