|
Navigation | ||
[E-mail]
Article publié le 21 juillet 2019. oOo La chatte d’Alice est au soleil sous sa robe couchée sur l’herbe dont le doigt pénètre le repli de son réveil profond. Alice entend la mouche épaisse de la vie qui bruit à son oreille qui entend se taire la moindre injonction du vent ou du clocher. Le temps s’est arrêté au bord de sa sueur et de l’intime suint de motte soulevée exactement troussée par le léporidé d’un songe qui la prend. Et c’est l’odeur du temps que je sens dans mes songes tenus éveillés par le chapelier fou qui mène ma lecture.
Pour vous être assénée dans le désir, comme chapeaux vous sont tendus. John Ashbery |
Revue d'Art et de Littérature, Musique - Espaces d'auteurs | [Contact e-mail] |