L’Oiseau-Coule-Rivière et la faux

del’arbre des pierres, toute hache bue

côtoientles incendies chevillés à des flancs

auxpoignets de captives des eaux ;

les monts agenouillés troussent les cotillons

desombres abusives qui bourdonnent.

La vue ouvre son couteau suisse et grave

l’écorcede l’instant ; on baisse les socquettes

desfilles de l’herbe, Xénophon traverse

en Gloire le cartable des flaques. Une chose

ajoute à l’édifice des choses pensées

qui est la pensée dont la truelle luit

dans le ruisseau qui passe et parle sur les os

iliaquesde l’Arche lovée au courant.