La nature et sa statique tout en prolifération s’étendent, là, partout.
Dans cette immensité végétale, dans cette matérialité hybride dont la forme change sans cesse, la vie organique animale se meut en toute liberté, déployant la variété de ses espèces et le déroulement implacable de son programme.
Dans ce cadre ou décor, la folie humaine évolue. Oui, la conscience et toutes ses caractéristiques se déversent entièrement, prenant acte de leur propre limite, sinon du dépassement contextuel.
La transcendance est là, donc, dans ce tout qui est une donnée incontournable. Tout comme la présence du féminin, à travers ses formes physiologiques, ses interactions, sa trace, ses vestiges...
Oui, la présence et l’apparence des femmes sont des données fondamentales qui suscitent les attitudes les plus variées, et ce de manière permanente.
Qui suscitent l’attention, au sens le plus polysémique du terme.
Dans ce décor élargi, en quelque sorte, je suis doté d’une liberté dont je dois me servir, en d’autres termes que je suis contraint de rendre matérielle.
C’est une autre transcendance, et non des moindres. Elle complète celle évoquée plus en amont, m’obligeant à créer des formes qui peu à peu dessinent les contours d’un cursus.
D’une trajectoire...