Le masque qui pleure entre les branches
lourd fruit pendu à la fenêtre
sans dents pour broyer la vie simple des jours
regarde le vide et le mur dégradé
d’en face
---------------------où un visage
se tient entre les pas qui pavent le silence
et la cloison de l’air posé sur les coussins
désolés de sa chambre
afin de retrouver l’épaisseur du pelage
d’une joie sans tain qui garde le sourire
comme une flaque d’eau le bain bref du pétrel,
que ce qui pleure arrive à être ce visage
et noie le masque noir et pousse l’horizon
vers la tourbe du ciel.