Rivière au hennin caillouté de musique
en éboulis de mailles noires qui débraillent
de vieux scénarios, et décillent les yeux
de la lumière même de l’air où palpitent,
les cils effrangés du ciel déraciné,
par le murissement de l’ailleurs fomenté
en icelle changée en l’eau de sa baignade
de pur paysage. Une tour la regarde
de son heaume abrupt et l’ourdit de sommeil
saccadé par le flot qui dore ses blasons.
Par un baiser futur à langue châtelaine
à court de pâmoisons, récolte le reflet
de se suffire en elle où l’épineux soleil,
déplie à son courant, rivé, son axe roux.