Ah ! s’il faut en finir en joyeux mirliton,
Que le nom disparaisse au profit de la fête !
Que les accouplements de ce triste poète
Avec les joies du temps nourrisse le maton !
Dans la publicité des écrans avortons !
Laissons faire en chantant la majorité bête !
Au pied des monuments que la joie nous arrête :
Soyons les amoureux gigolos et gitons !
… Tout cela est bien beau, mais quid de ce bâton
Qui de taille ou d’estoc explique la courbette ?
Se faire ainsi fêter sans tambour ni trompette
Finit par fatiguer le jovial marmiton…
La cuisine a du bon, comme dit le dicton,
Mais trop n’est-ce pas trop et ça vaut-il tripette ?