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II - post meridiem
Suite de la Chanson - La chute- chapitre XXII

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 Article publié le 18 décembre 2022.

oOo

Ben Balada avait sa photo en première page, trois colonnes. On en discutait chez Barman, à l’époque. Et le comte de Vermort racontait. C’était la nuit. Un orage lointain menaçait le sommeil que deux ou trois verres de Corbière lui avaient promis depuis une bonne heure. On ne dormait plus depuis la disparition de Lazare. La comtesse ne se déshabillait plus. Elle passait la nuit dans un canapé que l’extraterrestre avait poussé près de la baie vitrée du grand salon, celui où l’on recevait en temps ordinaire, on y séjournait rarement en dehors de ces rares occasions de jaser de tout et de n’importe quoi, mais la terrasse y attenant donnait sur l’allée principale et la grille monumentale était restée ouverte depuis le départ des gendarmes. Les rideaux vénitiens étaient entrouverts au moyen de deux pagaies arrachées au mur, un bouclier en cuir de rhinocéros était orné des armes des Vermort, avec la rose d’argent en son abîme. Lazare avait toujours été intrigué par cette rose plus que par le vert et le noir des autres meubles. Il n’y avait pas d’épée ni de lion, pas une armure, ni la pierre d’une tour ou d’un rempart, rien que cette rose d’argent et son scintillement par les nuits de pleine lune. On ne s’était jamais battu chez les Vermort. Pas même dans la Somme ou chez les Turcs. On n’avait pas vue sur l’Amérique entre les créneaux du donjon qui était plutôt la plus haute tour. On pouvait voir la campagne, ses prés et ses champs, ses bois et ses hameaux, deux routes étroites se croisaient et il savait qu’à cet endroit-là il y avait un calvaire et que le crucifié avait les traits caractéristiques des Vermort. Comme il était en métal et que la rouille le rongeait on n’avait aucune idée de la couleur de sa peau. Le corps était creux, il sonnait comme une boîte de conserve, les cailloux jetés l’avaient quelque peu cabossé. Mais on y passait rarement et toujours en bagnole, soulevant ainsi des gerbes d’herbes aux couleurs de la saison. Le temps passait tellement vite que c’en était devenu angoissant. La comtesse souffrait plus que les autres membres de la famille. Une famille réduite à ses géniteurs et à leur créature, encore qu’il fût de notoriété publique que Lazare n’avait pas une seule goutte de sang Vermort. Son sang était de K., c’était incontestable puisque la comtesse avait accouché devant témoin. Mais quant à l’autre branche, on n’en savait que dalle, sauf si on avait vécu aux Colonies, du côté où la comtesse avait perdu un enfant dans des circonstances obscures et avait enfanté celui-là après avoir enfin connu l’amour. Mais pourquoi compliquer ce récit quand on pouvait en écouter sagement la version simple comme un bonjour ? Derrière la baie vitrée, recevant les rayons d’une lune que le ciel isolait comme une pierre précieuse dans son écrin de soie funéraire, Anaïs observait l’ombre de la grille sur les murs adjacents qui clôturaient le parc. Lazare s’était enfui. Les gendarmes avaient recueilli les preuves d’une fugue et ils étaient repartis avec, ne laissant rien derrière eux qu’un doute affreux qui disait le contraire, Lazare ne s’était pas enfui tout seul, et ce personnage n’avait été vu par personne, la comtesse était victime de son angoisse, c’était écrit dans le rapport et même dans le journal où le comte organisait déjà des jeux, à l’époque. L’extraterrestre veillait lui aussi, à la demande du comte qui dormait entre deux injections. Il était debout à côté d’une armure, celle qui ne figurait pas dans le blason, selon le petit Lazare, un lion empaillé avait perdu sa crinière depuis si longtemps qu’on ne se souvenait pas de l’avoir connu dans sa gloire royale. Ses yeux de verres scintillaient dans l’ombre d’une cheminée qui sentait encore le goudron de ses anciennes flambées, d’un temps que personne n’avait connu et qui alimentait passablement les récits imaginaires encore en usage.

— Si Madame a froid… commença l’extraterrestre.

— Je vous remercie, Klaatu.

Elle ne dit pas de quoi elle le remerciait et il se vit dans l’acier lustré d’une épaule. Elle avait seulement demandé un châle. Les portes vitrées étaient entrouvertes et le vent secouait les rideaux, sans force le vent, comme s’il arrivait ici dans un état d’épuisement qui faisait pitié. Le comte dormait-il ? Rapide comme les équations qui l’animaient, l’alien avait constaté que le comte était schlass et que la prochaine injection était programmée pour dans deux heures, ce qui laissait le temps d’y penser. Il redescendit toutefois nonchalamment, sa main descendit la rampe et ses bottes écrasaient la mollesse d’un tapis conçu pour l’inattendu. Mais elle l’attendait et elle dit :

— Ces injections ne lui font aucun bien.

— Mais il dort, dit l’extraterrestre.

— Je ne sais même pas pourquoi j’attends ce qui n’arrivera pas. (l’aliensoupire) Il ne me le rendra pas vivant, c’est toujours ce qui se passe.

Ils n’ont pas demandé une rançon, aussi pouvons-nous supposer que vous avez raison de penser qu’il s’agit d’un homme seul…

— Comme celui qui est arrivé à pied par la route…

— Il venait de la gare…

— Tout le monde l’a vu.

Mais personne ne s’en souvenait au point d’en faire le portrait. La comtesse ne l’avait pas vu.

— Mais vous, Klaatu…

— Je ne l’ai pas vu non plus.

— Mais enfin ! Avec vos… ah ! (agacée) Toutes ces choses qui composent votre… esprit. Ne vous donnent-elles pas le pouvoir de voir ce qui s’est réellement passé ? Au lieu de toutes ces hypothèses qui alimentent… ah ! les autres !

L’extraterrestre, qui ne s’appelait pas Klaatu, et qui n’avait rien à voir avec cette fable, ressentit une petite douleur au niveau de son cœur. Il aimait la comtesse. Et la comtesse le traitait comme un personnage de roman. Et pas n’importe quel roman ! Un roman de gare, au mieux ! Il ne fumait pas, sinon il aurait allumé une cigarette et comme la comtesse ne fumait pas non plus, il cessa de penser à cette cigarette, pourtant elle le turlupinait et il se voyait dans l’acier qu’il jouxtait, juste sous le bouclier en peau de rhinocéros. Il n’avait pas d’enfant.

— Allez donc vous coucher ! fit la comtesse et son châle glissa et se noua à ses pieds.

Il s’empressa de le cueillir, comme si le vent menaçait de l’emporter.

— Merci, mon ami.

Il regagna aussitôt son poste près de la statue. De là, il avait une vue plus exacte de l’allée et de sa grille dont les battants jouaient avec le vent. Il pouvait voir la chaussée mouillée et plus loin le fossé et la base des troncs dont l’élévation était cachée par le linteau de l’entrée. Personne ne viendrait. Qui songerait à s’amener ainsi en pleine nuit, alors que la pluie virevoltait et que la lune allait disparaître derrière les nuages ? Qui ne dormait pas à cette heure ? On allait perdre une nuit de plus. On n’aurait rien à en dire de plus.

 

Cependant, Ben Balada et Wadi avançaient dans la nuit. La même nuit, non. Pourtant, le temps était à la pluie, et même à l’orage dont les lointains résonnaient sous le poncho.

— Tu leur diras que je t’ai trouvé, dit Ben Balada. Ils te croiront. Ils ne me croiront pas si je leur dis que je t’ai trouvé.

— Mais tu ne m’as pas tué !

— C’est ce qu’ils pensent en ce moment, mais quand ils verront qu’ils se sont trompés, ils oublieront ta mort et s’en prendront à moi et alors…

Wadi frissonna. Une pluie légère se déposait sur le poncho. On avait déjà évoqué cette mort. Là-bas, où jadis des colons avaient forgé leur avenir et celui de leur descendance, à une époque où le rêve colonial était un sujet de poésie, malgré la mort qui l’ensommeillait, Anaïs avait vécu l’hypocrisie, elle caressait la peau de son enfant et y songeait alors même que cette poésie était enterrée depuis longtemps. Wadi comparait les peaux. Il y avait une explication. Il y en avait même plusieurs. Deux explications, c’est une de trop. Qui es-tu ?

— Je leur dirai que sans toi je serais mort. Je leur dirais que si j’étais mort je serais enterré ou dévoré par les bêtes sauvages de ce pays…

— Tu ne leur parleras pas de ce pays.

— De quel pays est ma mort ?

— Voyons si la montagne…

Ben Balada se tenait le menton d’une main et de l’autre il élevait un pan du poncho et la pluie dégoulinait sur son bras nu, les gouttes formant un jet d’eau sur le coude. Wadi étreignait le poncho, mais la pluie ne tombait pas aussi précisément de son côté maintenant qu’ils ne marchaient plus et que la nuit s’annonçait plus longue que prévu, car ni lui ni Ben Balada n’avaient assez réfléchi pour former à eux deux une pensée cohérente. Personne n’est convaincu par une pensée confuse ou incomplète. Combien de nuits encore passées à mettre au point le récit de leur aventure au pays des Anciennes Colonies, comme le nommait Ben Balada ? Il venait à peine de dire que celle-ci était la dernière et qu’on n’était pas loin d’en finir avec cette histoire. Mais la cohérence n’y était pas. Même un enfant, et Wadi en était un, pouvait savoir cela et que sans ce chorus on n’avait aucune chance de convaincre même le plus crédule d’entre eux. La comtesse était très difficile à convaincre. Wadi le répéta encore, sans toutefois agacer son vieux compagnon qui savait à quel point Anaïs était coriace si on cherchait à la convaincre, il le savait par expérience mais au cours de ce voyage aller-retour il n’en n’avait pas clairement parlé, il s’en était tenu à évoquer quelques souvenirs en dentelle de faux oubli et Wadi n’avait pas insisté et même il s’en fichait un peu de savoir toute la vérité, à quoi bon savoir ce qui complique des choses déjà tellement embrouillées qu’il lui arrivait de désirer ne plus s’en préoccuper. La nuit n’était ni froide ni autre chose comme par exemple porteuse de mauvaises nouvelles. Il pleuvait et on s’était arrêté sous un arbre noir qui étendait sa ramure jusque sur la route, c’est dire. On réfléchissait. On avait réfléchi à ça dès le premier instant. Et on n’avait pas beaucoup avancé, alors qu’on était sur le point de toucher à la fin du voyage. Il était impensable de sortir de ce récit sans en connaître toutes les issues. Il en est ainsi de toutes les impostures, qu’on soit enfant ou plus. Si on vous interdit telle issue et que vous ne savez pas où aller pour vous sortir de ce guêpier, vous êtes bon pour un examen plus judiciairement conçu et alors Dieu seul sait ce qui peut arriver ! Tout le monde sait cela. Et « nous » mieux que les autres, tous les autres. Ça vous mettait des larmes dans les yeux. Et vous prétendiez que c’était la pluie et il vous frottait la joue, son visage était un masque, celui de la nuit. Wadi s’endormit.

 

Ben Balada franchit les portes du château au petit matin. La comtesse sommeillait et l’extraterrestre, plus réaliste, roupillait dans les bras de l’armure, le nez dans un pompon ou quelque chose comme ça. Anaïs crut d’abord qu’elle rêvait et que ce que portait l’homme qui marchait dans l’allée était un sac ou autre chose qui ressemblait à un sac et en aucun cas à un enfant endormi. Elle débattait ainsi, le nez dans un godet de soie écrue, quand le comte dévala l’escalier, gesticulant comme un automate qui a perdu ses attaches. Les marches soutenaient ses pas en silence, à cause de ce tapis dont l’extraterrestre analysa instantanément la structure en nid d’abeille.

— Enfin ! s’écria-t-il.

Et à voir les signes de joie qui recentraient son attention au cœur de son système d’exploitation, il n’était pas inconcevable de penser que le sac contenait un enfant. Anaïs poussa un cri et fut en même temps enlevée par la poigne têtue du comte qui aussitôt ouvrit les battants déjà entrouverts, un des rideaux se noua au corps en phase d’éveil de l’extraterrestre qui avait perdu le sens de la mesure au point de s’emparer au passage d’un cimeterre dont il arracha furieusement les pompons. L’homme avançait sur la terrasse. Il était temps de calmer le jeu. Le poncho se fendit et par cette ouverture on put voir le visage endormi de l’enfant désormais retrouvé. Et retrouvé par qui ? Mais par ce…

— Ben Balada. C’est un hasard si. Explication plus loin.

— Est-ce bien votre fils ? demanda plus tard le gendarme.

— Pourquoi ne se réveille-t-il pas ?

— Il faut demander ça à monsieur…

Ben Balada était assis à l’endroit même que la comtesse avait occupé pendant la nuit et au cours de toutes les nuits qui avaient suivi l’enlèvement ou la fugue selon ce que l’enquête révèlerait une fois passé le temps des émotions et de la confusion qui s’ensuit. Ben Balada n’avait pour l’instant répondu à aucune question, aucune question ne lui avait été encore posée, il s’en posait en silence sans toutefois y répondre et leur nombre croissait avec l’incohérence qui commençait à caractériser les prémices d’un récit qui en contenait plusieurs autres, on se doutait bien que ça n’allait pas être aussi simple que ça prétendait en avoir l’air au moment où on commençait à douter et en même temps à mettre de l’ordre dans toutes ces idées. Le docteur Vincent s’amena sur ces entrefaites, poussé par Jehan Babelin qui voulait en savoir plus. L’auscultation ne dura pas une minute. L’enfant dit s’appeler Wadi, ce qui étonna tout le monde ici présent, à part Anaïs qui feignit un malaise et rougit au lieu de pâlir, ce qui intrigua le docteur et alimenta le cerveau en alerte de Jehan Babelin, lequel se tenait à l’écart afin de ne rien rater de la scène. Le gendarme douta soudain de lui-même :

— Ce n’est pas votre petit Lazare… ? bredouilla-t-il en se caressant l’épaulette comme si sa barrette avait perdu de son charme.

— Et bien non, fit le comte exaspéré.

— Mais alors qui êtes-vous ?

On se tourna vers Ben Balada. Il ne paraissait pas désorienté, alors que tout le monde avait perdu le nord. Il se leva et tourna ses paumes vers le plafond.

— Je suis Ben Balada, dit-il comme s’il prêchait, et voici mon enfant.

— Mais ce n’est point Lazare ! s’écria l’extraterrestre.

— Oh ! Vous, taisez-vous ! fit le gendarme. La dernière fois que vous avez donné votre avis, je me suis fait souffler dans les bronches par madame la Procureure.

— Elle n’est pas là, s’amusa l’alien. On peut donc discuter un peu avant de se mettre à table.

Et disant cela il regarda Ben Balada droit dans les yeux. On attendit de voir l’effet produit par ce rayonnement dont la nature sidérale demeurait un secret pour tout le monde, et pas que pour ceux qui représentaient ce monde dans le salon de réception où se tenait cette représentation sans rideau. Ben Balada ne parut pas troublé par la méthode. Il haussa les épaules et offrit à l’assistance un échantillon de sa capacité à sourire devant la difficulté dont celle-ci était peut-être la plus délicate, voire la plus sombre de perspective, qu’il lui eût été donné d’envisager comme insurmontable. On n’allait certes pas perdre patience, ni se montrer inconvenant, car enfin cet homme amenait un enfant et quand bien même c’était le sien, il eût été inélégant de le lui reprocher. En tout cas, fallut-il constater avec lui, ce Wadi avait quand même quelque chose de commun avec le petit Lazare, et pas seulement leur âge qui, à peu de jours près, devait être le même : la couleur de la peau, même sous le lustre ancestral qui surplombait la scène, n’était pas loin d’avoir une température approximativement identique.

— Voyez le style de chevelure, il est assez approchant, constata le comte sans rechercher l’approbation de la comtesse qui pleurait sans parvenir à essuyer ses larmes.

— La taille, tout… fit le gendarme en consultant sa fiche.

— Mais ce n’est pas Lazare, trancha l’extraterrestre. Expliquez-vous, monsieur…

— Mais comment voulez-vous qu’il explique ce qui n’a rien à voir avec nous ! rugit soudain la comtesse.

On recula, tandis qu’elle s’avançait vers Ben Balada.

— Savez-vous au moins comment le réveiller ? grogna-t-elle. Que lui avez-vous donné ?

— (ici le gendarme répète cette dernière question et se tourne en même temps vers la comtesse)

— Je n’y avais pas pensé, fit le comte.

Ben Balada tapota le poitrail de l’armure, à deux doigts de pratiquer la même désinvolture sur celui de l’extraterrestre qui rentra le ventre.

— Je ne lui ai rien donné. Il est épuisé.

— Mais par quoi, mon Dieu ?

— Oui, par quoi… ?

— Un voyage comme vous n’en avez jamais entrepris.

— Vous avez fait subir à cet enfant les tourments d’un voyage… ! Mais où êtes-vous allés ?

— Dites-le-nous.

— Cela vous regarde-t-il ?

— Le Parquet y trouvera à redire si…

— Un baiser de vous, chère Madame, et il reviendra avec nous.

À ces mots, on soupira sans retenue. On avait oublié Lazare. On avait été transporté ailleurs. Et l’enfant, baisé aux lèvres, s’éveilla, étirant sa petite carcasse presque dans les bras de la comtesse qui ne put s’empêcher de susurrer :

— Ressemble-t-il à sa maman ?

Jehan Babelin, circonspect, s’était bien gardé de se mêler à la conversation. Il négligea même de s’intéresser au réveil de l’enfant. Sous le regard non moins sagace de l’extraterrestre, il rejoignit Ben Balada qu’on semblait tenir à l’écart. Il lui offrit un cigare que l’étranger refusa poliment. Jehan Babelin l’embrasa sans attendre et rejeta la première bouffée vers les ornements du vieux plafond qui en avait vu d’autres. Le moment était bien choisi pour revenir au sujet du présent chapitre. Et pendant que l’enfant gazouillait devant une assiette de cookies, Jehan Babelin prit le coude de Ben Balada dans sa grosse main d’ouvrier à temps perdu et, l’entraînant vers l’extérieur, car il ne pleuvait plus et le vent s’était éloigné, on l’entendait secouer d’autres branches, il lui demanda, à voix basse et sans ponctuation :

— Mais pourquoi cet enfant n’est-il pas Lazare

— S’il l’était, cher monsieur qu’il me semble reconnaître, la suite de ce récit n’aurait aucune raison d’être. Or, il y a une raison. Et je vais vous la donner :

 

 

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