Si l’on bondit sur une solitude,
elle se cache avec une mutine intention d’enivrer
par le coup du désert, où la soif et la vue
s’unissent et font la chaine sur le mur
de la chambre, où les choses visibles, deviennent
comme la levure des apparitions,
enceintes de la joie menue du sablier,
où coulent les possibles déclinés du sable,
des dunes gravissant la peau gourde de l’eau,
que traverse la langue bosselée du vent,
et son blanc coudoiement sans interprétation,
son propre froncement fictionnel conduisant,
au péage animal de l’écrit.