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![]() oOo Die Lebensumstände, das Leben im fremden Sprachbereich haben es mit sich gebracht, dass ich mit meiner Sprache viel bewusster umgehe als früher. Paul Celan, Brief an Hans Bender, 1954 * A y bien réfléchir, le monde actuel mérite d’être détruit, mais il faudrait que la puissance capable d’une telle action s’autodétruise à son tour, ne laissant rien subsister, pas même ces mots. N’est-ce pas là le désir de toute métaphysique mais aussi de ses servants aux petits pieds qui n’ont pas lu Platon et consorts ? Cette tentation-tentative-là, inchoative-itérative, sans cesse recommencée puis avortée, chaque échec relançant le désespoir de vivre et l’espoir de changer la donne en s’adonnant aux meurtres de masse, à l’ivresse génocidaire, au grand nettoyage ethnique, c’est le nihilisme et son impuissance foncière à aller au-delà d’une utopie meurtrière, et toutes les utopies sont meurtrières. L’en-deçà de l’utopie, c’est la pensée qui macère dans sa chair bouillie, dans ses idéaux recuits, ses métaphysiques repues-rompues aux élucubrations platoniciennes et autres divagations, en-deçà qui donna en premier lieu l’au-delà utopique de la République de Platon, et tout ce qui s’ensuivit sur le plan spirituel-cultuel-culturel, christianisme inclus. Le nihilisme se décline en hédonisme forcené, en religiosité vague, en religions constituées, en fanatisme religieux ou politique, misérables béquilles pour grands malades qui se croient bien portants et se piquent d’assainir l’existence, de purifier la rasse, de bâtir une société sans classes, etc… Si le liant-ciment de toute vie au sein d’une société est exclusivement constitué-structuré par ces invariants métaphysiques que sont causalité, substance et sujet, qualité et quantité, possibilités et impossibilités qui assoient le primat de l’être en dénigrant le devenir, alors il est permis de penser que rien jamais ne changera, que le nihilisme en tant que mouvement perpétuel de la machine humanité continuera inexorablement son œuvre de mort. Présence et expérience d’autrui, refus de le détruire, anti-nihilisme. L’errance, avant et après tout exil. * En voilà un qui cracherait volontiers dans la soupe de sa grand-mère, s’il avait seulement conscience d’en avoir une. Regrettable amnésie ! On peut ne pas aimer ses ascendants, voire les haïr, particulièrement s’ils furent des assassins genre nazis ou communistes, mais les oublier purement et simplement, quelle misère ! * A une énigme réponds par une énigme plus grande encore ! * Le plus souvent texte et musique combinés-intriqués proviennent de l’élection mûrement réfléchie d’un texte qui sert de prétexte à la musique, Textvorlage, comme on dit en allemand ; plus rarement, la musique inspire des textes poétiques puissants. La peinture fut mieux servie durant tout le vingtième siècle, les peintres étant bien plus riches que les pauvres poètes qui couraient après quelques sous ! Devrais-je plutôt dire après quelques deniers ? Les musiciens, quant à eux, ne perçoivent guère l’intérêt de voir leur musique prise pour prétexte à poétiser ! Dans ce qu’elle donne à entendre, presque le même pour tous et toutes, la musique donne à voir des configurations colorées et même des scènes vivantes propres à chacun et chacune d’entre nous. * L’auteur-compositeur-interprète a la chance d’être aux premières loges de sa création, en ce qu’il est une espèce d’homme-orchestre. Sa polyvalence lui permet de choisir son ordre de priorités : texte en premier lieu ou non. * Hendrix composait vers la fin de sa vie en termes de patterns, c’est-à-dire de schémas rythmiques qu’il raffinait de séance d’enregistrement en séance d’enregistrement, en studio ou bien à son domicile, jusqu’à obtenir une séquence d’enchaînements rythmiques complexes (écouter par exemple Burning Desire), sur laquelle venait ensuite se greffer une recherche harmonique basée sur les mélodies qui lui venaient si facilement. Ce mélodiste de génie procéda aussi à ses débuts par effets de contrastes, multipliant les sources sonores en les combinant par strates, ce qui aboutit à des merveilles intensément dramatiques telles Are You Experienced (sans point d’interrogation, s’il vous plaît !) ou bien encore Love or Confusion sur son premier album. Hendrix était aussi un écrivain prolifique qui n’eut pas le temps de publier quoi que ce fût, hormis un court essai qui figure à l’intérieur de la pochette d’Electric Ladyland. Il aurait été certainement amené aussi à développer une œuvre thématique qu’il avait intitulée Black Gold ainsi que des scenarii dont il nous reste des ébauches. Chez ce musicien, tout était work in progress. Il puisait dans ses textes son matériau poétique pour fixer les paroles de ses chansons, * Une première option. Le texte s’élaborant toujours au gré de la musique, changeant de fait assez sensiblement au fil du temps. Une deuxième option, plus rare. Un texte solide, non comme un monolithe de granit, mais comme un vin charpenté, tanique à souhait, assez capiteux pour entraîner des idées musicales qui en découlent directement, puis s’en émancipent, le texte débridant en quelque sorte la musique qui ne le sert pas ni ne s’en sert, mais, née de lui, ramène à lui en toute amitié l’auditeur ravi de tant de libertés prises avec les conventions tant de l’écrit que de la composition musicale qui en découle. * D’où me vient que je ne lis plus tes poèmes à haute voix, ami ? La plate voix intérieure, sans reliefs ni couleurs, pour ainsi dire détimbrée, désincarnée, convient mieux à ma lecture de tes poèmes depuis de nombreuses années, sans que je m’explique exactement pourquoi. Peut-être est-ce pure timidité acquise en fréquentant assidument tes écrits, à tel point que je ne désire rien tant que m’effacer devant eux. Leur prêter ma voix, ce serait comme les entacher d’une trop lourde et sourde présence qui ne me semble pas convenir à leur beauté intrinsèque. Je préfère entendre, de loin en loin, la voix inspirée d’un acteur qui sert tes poèmes mieux que je ne saurais le faire. Est-ce à dire que ma timidité m’interdit désormais de m’adresser à toi ? Il faut croire que non, ce texte en étant la preuve vivante. * Je pense avoir hérité d’un sens inné du rythme qui s’est peu à peu affiné au fil de mes lectures. Ce sens du rythme ne fut pas d’abord purement musical, en ce sens qu’il se manifesta à moi en pratiquant la lecture à haute voix de nombreux poèmes, de Baudelaire d’abord puis de Breton, à tel point qu’écoutant de la musique je ne puis m’empêcher encore maintenant de phraser-rythmer jusqu’aux silences qui l’habitent. La musique hendrixienne est tout entière rythme tellurique lancés dans le bleu du ciel, ins Blaue hinein, sans que jamais cet élan ne devienne oiseux. La lecture d’André du Bouchet m’a en quelque sorte ouvert à la voix du silence. Silence que ne brise aucune haute parole, mais la sertit. En ce sens, la lecture de fragments de Hölderlin, assez douloureuse durant mon adolescence, m’a pour ainsi dire servi de tremplin pour aborder la lecture de du Bouchet. J’ai entendu dans du Bouchet un achèvement qui venait combler le vide désolé laissé par Hölderlin foudroyé. * Poème en déshérence cherche voix capable de bâtir sur le terrain fertile de l’indicible. Tout commence par le silence et tout revient au silence, ce qui ne revient pas à dire que la parole s’élance du silence pour y chuter, sorte de rechute après un long moment de santé rayonnante, mais qu’elle porte en elle la juste mesure du long chemin qui, partant de lui, ramène à lui, sans qu’il puisse être dit qu’il y a retour à la case-départ. Cycle aéré qui élargit l’aire de la parole, jamais n’en circonscrit définitivement les limites, comme au temps de mes ancêtres il arriva que les branches de noisetier plantées dans le sol de la propriété accordée par la communauté, bien loin de sécher, prirent racines, rendant la limite par eux dessinée vivante et désirable. Y chantaient alors la mésange bleue, le roitelet et le rouge-gorge. Chemin semé d’embûches, le trop à dire qui noue la gorge des jours secs, comme si ce qu’il y a à dire se réservait pour des jours meilleurs, nous laissant vacants, libres de vaquer à autre chose qu’à sa mise en demeure dans le bâti du poème, tout poème étant l’alarme intensément vécue aux abords du danger, le plus grand des dangers étant le mutisme, en ce qu’il interdit toute prise de parole alertant d’un danger imminent ; le mutisme est silence qui se referme sur soi, laissant le locuteur-poète sans voix. L’autre silence qui sertit la parole se veut réserve infinie de paroles, réserve d’avant toute volonté conservatoire comme aux temps bénis où faune et flore n’avaient encore rien à craindre de la présence humaine. * Sa poésie serait-elle non pas le moyen mais l’occasion mûrement réfléchie mais saisie au vol de réactiver des mots endormis, oubliés, verschollen, comme le dit si bien la langue allemande ?
Comment osent-ils ? comment osent-ils seulement exister, se lancer dans une carrière et prospérer ? Voilà bien le chapelet de questions à poser à propos de tout ce qui nous dérange par sa laideur, son insolente insignifiance, son arrogance. * Carcan de la symétrie. Variétoche. Musiques de variété sans aucune variété. * Il faut d’abord s’imprégner. C’est le débourrage. Tu laisses la musique s’ébrouer en toi, la longe de ton attention est suffisamment relâchée pour que la musique trotte en toute liberté dans ton manège intérieur mais en faisant des cercles de toi. Puis vient le temps du dressage. La musique se redresse, se cabre à mesure que tu t’approches d’elle dans le plus grand silence intérieur possible. Enfin, elle se dresse en toi. La métamorphose est achevée ; tu es devenu musique. * Le poète a raté son train de neuf heures. Le voilà seulâbre sur le quai de la gare. Pas un seul pékin à l’horizon. Personne à qui parler. Quand passe le prochain train ? On l’ignore. Faut dire qu’il sort tout armé de la tête du poète qui doit s’empresser d’y sauter en marche, mais parfois un bond n’y suffit pas, lorsque le train s’est déjà éloigné. Le quai s’est vidé de tous ses passagers. La solitude est si grande mesurée à l’aune des poèmes que tu as manqués. * Ah les trains ! Un symbole fort d’émancipation tout là-bas en terre esclavagiste. I can hear my train comin’ ! Ce blues, élaboré durant trois années sur scène et en studio, intitulé aussi LonesomeTrain ou bien encore Get my Heart Back Together, constitue le stade ultime du blues électrique. Tout ce qui a été produit après reste en deçà de la puissance tellurique qu’il dégage. Feedback, Leslie, pédale wah-wah, whammy bar colorent de mille couleurs ce blues dantesque. * Quelque chose approche, oui, c’est quelque chose, tout de même, qui vient ; ça disparaît en un instant en se perdant dans un nuage de certitudes qui se pavanent à l’horizon. Prends donc ta faux et dévaste tes certitudes. Je sais qu’elles repoussent comme du chiendent, mais ce n’est pas une raison pour rester les bras croisés. * J’ai pris un grand bain de poésie. J’en ressors épuisé ; ma peau flotte à deux mètres de moi, mon squelette grelotte. Vite mon peignoir que je me drape dans ma pudeur ! Adolescent, la lecture à haute voix était un rituel auquel je recourais quotidiennement ; je lisais tant et tant que des bribes de poèmes me revenaient en tête en toutes circonstances. Je me revois sillonnant les rues du quartier Saint-Claude à Besançon sur le solex de ma mère, murmurant des poèmes, cheveux au vent. Lecture enivrante du long poème d’André Breton qui commencent par ces mots : * Les acteurs, pauvres hères adulés, ne laissent aucune œuvre derrière eux ; les scénaristes et les réalisateurs, ces vampires, raflent la mise à tous les coups. Les acteurs ne laissent derrière eux qu’une carrière, brillant sillage qui se perd bien vite dans la mer houleuse de leur célébrité qui va s’éventant. Quelques embruns, c’est tout ce qu’il en reste. Des extraits de film et des interviews-confidences meublent le tout assaisonné de quelques anecdotes piquantes. A force de tendre vers une illusion parfaite, le cinéma est devenu une parfaite illusion. C’est sa gloire et sa misère. Tout y est factice mais caché comme tel : l’artifice au service de l’illusion, l’illusion suprême consistant à faire oublier que tout est illusoire, le temps de la projection. On se demande comment les acteurs parviennent à surnager dans cet environnement numérique. Apparemment, ils s’en portent bien et empochent de belles sommes d’argent. On s’adapte ou on meurt… Je n’aime pas « le monde du cinéma ». Showbiz et politiques corrompus s’entendent comme larrons en foire. Regardez les faces hilares de Cassel, Depardieu et Delon en train de s’ébaubir devant Poutine qui pousse la chansonnette en 2010 à Saint Pétersbourg. Tous stipendiés pour venir assister à ça en compagnie de stars hollywoodiennes tout aussi complaisantes. Le spectacle est dans la salle ! Moins pathétiques, beaucoup plus dangereux pour la démocratie française, il y a cette classe politique achetée par le Kremlin et ravie de pouvoir rendre service tout en empochant des faveurs en nature ou en monnaie. * Sisyphe se renouvelle si peu, à la rigueur le voilà qui esquisse un pas de côté mais l’effort est si ruineux qu’il renonce bien vite, tandis que les montagnes ne cessent de croître, inventant jour après jour, comme aux premiers jours, ce que les humains appellent des sommets. Sisyphe n’a cure des sommets, occupé qu’il est à faire rouler son rocher. Pour lui, le haut est synonyme de bas. * Là où le bas blesse bâtis ta demeure. Ils sont nombreux ceux qui n’oseront s’y aventurer. * Terrain glissant : terre, terreau, terroir. Que manque-t-il à cette belle triade française ? Matière, matériau, m… Ah c’est la merde ! * Vendez vos miroirs et vos psychés, gentes dames ! Dansez donc sur vos balancelles ! Votre vertige sera ne nôtre. * Pas de deux, pas de dieux, Olympe ! Née dans un bouge, Olympe se frotte les yeux avec de la paille, quand elle pense avoir la berlue. C’est toujours mieux que les poutres que ses soudards de frère utilisent pour bâtir leurs tristes échafauds. Mais oui, Olympe, tu vis bel et bien dans un monde d’hommes sûrs de leur fait, et ce n’est guère réjouissant, je te l’accorde. Il faudra faire quelque jour le ménage au milieu de cette ménagerie qui ne ménage pas sa peine pour se survivre. * Une seule noix dans la poche de ta chemise a fait de toi, ami, ce noyer en majesté auquel toute la prairie rend hommage depuis des siècles et des siècles. Hélas, pour le savoir, il aura fallu qu’on t’abatte ! * Ce poète n’a pas su trouver les vers qui l’auraient hissé jusqu’aux sommets de musiques dont il ne pouvait avoir la moindre idée. Il a buté sur les rimes de strophe en strophe, vite essoufflé. Son manque de souffle a fait de lui un poète adulé de son vivant par un petit cercle de courtisans. * Quelques musiciens s’attardent dans tes allées fertiles. Ils y musardent en quête d’inspiration mais rien ne leur vient. Leur manque ce regard oblique qui sait débusquer dans les fourrées la bête ailée. Sont-ce de petites cailles que je vois là, qui frissonnent sous le vent d’hiver ? * La mort n’a pas lieu d’être, elle survient dans ce lieu qu’est le corps qu’elle anéantit ; le spiritualisme cherche dans les sciences des raisons de se survivre en inventant une conscience pendant et après la mort, la fameuse NDE.
Commençant cette phrase, lapsus calami, au lieu d’écrire « la mort », j’écris « la maison », ce qui nous donne : La maison n’a pas lieu d’être. Preuve s’il en est que je ne me sens nulle part chez moi. Il m’est arrivé d’envier les gens capables de dire : chez nous en parlant de leur chez soi voire de leur pays. L’envie passe vite et les motifs de jalousie ne me retiennent pas. Ce surcroît d’excès qu’est la mort, ce dérèglement de la vie malade d’elle-même, et même celle qui survient par pur accident, laissant tout le monde sans voix, car rien jamais n’y prépare, voilà que les religieux en ont fait une raison d’espérer en un monde meilleur. L’ici-bas bassement évalué, le Très-Haut comme garantie de survie, quelles foutaises ! Si tout obéit à des lois physico-chimiques, alors dieu lui-même n’est que physique et chimie, sauf à l’imaginer retiré de sa création apparue ex nihilo, ce qui pose le problème de la création en ces termes : comment quelque chose peut-il surgir de rien ? Résoudre le mystère de l’existence de l’univers par l’intervention d’un démiurge n’est qu’une solution de facilité. Le mystère reste et restera entier. Rien n’autorise le recours à une divinité, hormis la lâcheté des masses. La divinité est le rien dont tout découlerait, y compris cette phrase. Un épais halo de croyances diverses et variées nimbe et pollue toutes les connaissances, même les plus fines. Les croyances s’infiltrent jusque dans les télescopes et les microscopes électroniques. Le mystère de l’existence mérite mieux que les vieilles lunes des religions prétendument révélées. Les arts et les sciences soulèvent des questions, sont soulevés par elles, chaque réponse entraînant de nouvelles questions. * Tout m’est pré-texte. Ainsi de quelques poèmes élus. Au sein de l’immense civilisation de l’écrit à laquelle j’appartiens sans regrets ni remords. * Chauvin moi ? Nullement. Je suis bien trop gourmand pour être un chauvin replié sur son petit territoire à tiroirs de terroirs. * Il y a quelque chose de pourri au royaume du sport. Le ver n’est pas dans le fruit, c’est le sol et l’arbre tout entier qui est malade et qui rends malades celles et ceux qui mangent ses fruits.
* L’errance, avant et après tout exil. Le Juif errant. Les langues, ces agrégats aléatoires en concurrence les uns avec les autres, opèrent de singulières rencontres : Haïti, en hébreu signifie : J’y étais, en haïtien : la montagne-refuge, ce qui rejoint le Berg allemand, soit la montagne-refuge, du verbe bergen, mettre en sécurité, protéger, sécuriser et qui donne geborgensein si riche de sens : se sentir bien, à l’aise, en sécurité, ainsi que Burg, le château-fort et les Bürger habitants du château, les bourgeois, y compris les franc-bourgeois, les Freibürger, etc… Involontaire poésie qui s’adresse à tous les humains… De là à y voir un signe, il n’y a qu’un pas, que le poète se garde de franchir. Il reste l’errant dans la langue qu’il a élue pour le bien de tous, rappelant à tous que l’enracinement n’est qu’illusion consolatrice, collusion avec des forces réputés transcendantes qui enjoignent à qui s’y asservit volontairement de rester à sa soi-disant juste place, fût-elle indigne de tout être humain. * Ne me dis rien ! Ne me dis pas ce qui te pousse à le faire ! Ne me dis rien ! Fais-le ! Lance-toi ! Viendra quelque jour le temps de ton récit, pour peu que tu souhaites faire étape de ce que tu as vécu et ressenti. Je ne t’y invite ni t’y force. Libre à toi !
Jean-Michel Guyot 1er mars 2023
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