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 Article publié le 11 juin 2023.

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  • 0) Une grosse blonde en pyjama bleu électrique assise sur un canapé moche, elle enlève son pantalon et découvre deux cuisses larges comme quatre jambons, sa chatte est banale sans poils ou quasi et très peu parlante, presque fermée, elle y rentre les doigts, se frotte le clitoris, elle se met à genoux sur le canapé pour se montrer davantage à la caméra, c’est mieux, l’intérieur est rose, mouillé et on aperçoit un bout de clitoris qu’elle titille en gémissant, elle se retourne, et présente son cul à l’objectif, ce n’est pas un cul, c’est une immensité de viande, énorme, un animal blanc gélatineux, la raie est comme mangée de chaque côté par des traces noires, des nervures très fines qui l’irriguent, elle continue de se branler en poussant des cris, des souffles, des bonheurs, la main dans la chatte, ses joues se sont colorées en rose, joli visage, petites lèvres maquillées, bouche en cul de poule qui jouit.
  • 1) Japonaise couchée sur un lit défait qui relève son T-shirt blanc sale, on voit son soutien-gorge vert et la caméra filmant sous sa jupe montre sa culotte de la même couleur vert céladon, elle se caresse à travers le tissu en poussant des petits cris d’animaux traqués, pris au piège, victime délicieuse sa culotte est trempée à l’emplacement de sa chatte, une grande tâche qui court sur plusieurs centimètres, elle passe ses mains à l’intérieur, et en retire une mouille gluante sur le bout de son doigt qu’elle porte à sa bouche, une sauce onctueuse made in odor di femmina, elle écarte les cuisses en prenant un air de plus en plus craintif, soumise elle continue de se branler sans joie apparente, mécanique des femmes.
  • 2) Ligotée et bâillonnée, elle est à genoux sur une moquette blanche où trône un grand canapé gris, cheveux noirs qui battent dans son dos car elle gigote comme une folle, elle porte un chemisier blanc, une jupe noire et des collants noirs, les liens passés de part et d’autre de ses seins les font ressortir sous le chemisier tendu à craquer, c’est un peu long, quelqu’un va-t-il venir la violer, la battre, la tuer ? non, ça dure, on n’entend que sa pauvre douleur étouffée par le bâillon, c’est tout !
  • 3) Une chatte en gros plan armé d’un clitoris géant que la fille masturbe comme une bite tendue entre ses deux doigts, c’est long, effilé, comme un stylo vivant rose avec un capuchon plus sombre pareil à une tête minuscule d’un être venu d’ailleurs, quand la fille, une black, se met à genoux sur le sol où elle était couchée, l’étrange clitoris fait rostre d’insecte, documentaire animalier…
  • 4) Assise sur un canapé, guêpière noire et collant résille, jambes croisées, un médaillon autour du cou, elle parle à la caméra en anglais incompréhensible, elle doit décrire son cul et sa chatte qu’on ne voit pas, elle doit raconter comment elle va baiser comme une chienne les yeux perdus qui sont beaux, en effet, bleu nuit d’amour, elle écarte les cuisses, culotte rose vif, en souriant bêtement.
  • 5) Elles sont deux nues sur un lit, une européenne couchée sur le ventre lèche les pieds d’une japonaise couchée sur le dos, un mec entre dans le champ et vient s’allonger entre elles de façon à se faire branler par les pieds de l’asiatique et sucer en même temps par la blanche qui pompe avec vigueur, le gus, dont on ne voit pas le visage, bande comme un âne, la japonaise commente en gloussant, la langue passe du gland aux pieds et court sur la cheville de la fille qui continue à miauler, beaucoup de regards caméra, complices, il éjacule, quelques gémissements feutrés, l’asiate jouit des yeux folâtres en regardant ses pieds plein de foutre, englués dans les filaments de sperme, la bouche de l’autre salope nettoie tout, la bite, les couilles, les orteils, la plante, le talon, tout.
  • 6) Deux seins énormes en gros plan que malaxe une fille brune très jolie, la trentaine, cheveux coupés à la garçonne, elle en pince les pointes d’où il sort du lait, ça gicle violent, elle s’essuie avec un torchon, bouche pulpeuse à tout bouffer, rouge à lèvres vif sang, elle est assise, on aperçoit derrière elle un tissu à rayures vert et gris, elle se recule et montre sa chatte, cuisses bien ouvertes, dans le même plan on voit sa bouche dans laquelle elle a mis un doigt, ses seins énormes qu’elle fait trembler en gigotant, sa chatte humide sans aucun poil, petites lèvres tendres, un sexe de jeune fille abricot, et son anus très rose où elle rentre un index tournant en couinant, très salope.

  • 7) Une chaise au centre d’une pièce vide sur laquelle une fille nue avec un gode planté dans le vagin se trémousse, on entend une musique d’ascenseur qui rythme la chevauchée de l’amazone, jeune brune aux seins copieux qui montent et qui descendent, virevoltent, lèvres mauves, maquillage noir gothique autour des yeux, un collier de chien autour du cou, quelques mots sortent de sa bouche ouverte qui cherche l’air, dans un plan plus large, on aperçoit des oreilles de lapin blanc fichées dans ses cheveux, elle a enduit son corps d’huile de massage, ses seins sautent de plus en plus, battent la chamade, elle dit my God, my God hors d’haleine, la bouche tordue, elle gémit, s’aide de la main pour mieux jouir la bouche en gouffre où elle enfourne le gode et le suce avec intensité.
  • 8) La fille porte des lunettes à monture rouge, son visage en gros plan suce un mec dont on ne voit que le cul d’animal velu, elle le suce par derrière avec le nez dans son fion, qu’elle renifle avec passion, démesure, accro à l’odeur de merde, elle laisse tomber la bite de sa bouche pour bouffer l’anus où elle rentre une langue démesurée, le mec gueule, feule, glousse, son cul se trempe de sueur et de salive, et son anus coule comme une fontaine de bave gluante.
  • 9) Les cuisses grandes ouvertes, on regarde la fille par le trou d’une serrure, ce sont des chiottes, elle est allongée au sol devant la cuvette, on ne voit pas sa tête mais à la cellulite qui gélatine ses cuisses on devine un âge certain, avancé, une vieille moche, ses pieds au premier plan semblent aussi usés que son vagin large comme la tête d’un enfant, un steak saignant au-dessus duquel elle branle un clitoris pourpre et noir qu’elle recouvre d’une brosse à dent électrique, dont entend le vzzz et rien d’autre, elle n’éprouve rien de parlant, elle jouit vite en répandant beaucoup d’eau en jets violents sur la serviette qu’elle avait glissée sous son cul.
  • 10) Elle fait descendre son slip, lentement et présente son cul à l’objectif, cambrée, elle écarte ses fesses avec ses mains qui montrent sa chatte et son anus délicat, c’est un miaou, elle se met à quatre pattes sur le lit et mime un coït, elle se couche sur le dos cuisses ouvertes, elle porte des chaussures dorées avec des talons immenses, elle se branle, son sexe est complétement épilé, grandes lèvres très roses, elle ferme les yeux ou bien dévisage la caméra avec un regard suppliant, viens ! gémissements, petits cris, elle sort un gode de dessous l’oreiller, petit et long pour le cul dont elle huile le trou d’un doigt avant d’y introduire l’engin, elle est à nouveau à quatre pattes, les yeux fermés, elle couine, gros plan sur son trou du cul rempli, elle est très jolie, so british, elle jouit grandement, coule, l’œil blanc hystérique, assez inattendu après tant de suaves douceurs.
  • 11) Elle se tient à quatre pattes avec une bite dans le vagin et une autre dans la bouche, sept huit mecs autour se branlent, cheveux châtains coiffés en chignon, lunettes, le corps enveloppé de résille qui maintient sa peau, sans doute flasque, comme un saucisson à dévorer, ici défoncer, les mecs sont gros, ventrus, moches et vieux, ils portent tous des masques de catcheurs mexicains, la fille est maintenant sur le dos bourrée à mort, piston dans sa chatte, elle gueule, suce, branle en même temps, le sperme jaillit de partout, sur sa gueule, son ventre, ses seins, ceux qui n’ont pas joui continuent à la défoncer en bouche et en chatte, jamais en cul, son vagin dégueule du foutre, ça coule, se répand partout, elle suce à tout vent, crie, hurle.
  • 12) Habillée de blanc, elle suce un énorme gode noir, collier autour du cou en perles argentées, décolleté, mini-jupe, bas noirs, elle est filmée en plongée dans un intérieur banal, parquet, mur blanc, elle se tient debout, plante verte dans un coin, elle sort un sein de son corsage blanc, un seul, elle ne porte pas de soutien-gorge, elle n’est plus très jeune, quarante ans environ, elle rentre dans son gosier au moins vingt centimètres du gode, elle s’allonge sur une table de cuisine, en bois clair, ouvre les cuisses en grand et rentre le gode dans sa chatte qui n’attend que ça, elle le ressort et le suce avec encore plus d’entrain qu’auparavant, presque de la rage, on voit l’engin à travers sa peau descendre dans sa gorge comme un boa dévorant, chatte, bouche, chatte, bouche, elle ne sait plus où donner du jouir.
  • Jacques Cauda

     

 

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