Le ciel se compisse dans ses manuterges
de telle manière que l’esprit s’éteint
en stases de nuées. Le sophisme des pluies
masque les nostalgies têtues donnant le La,
sur la portée de notre ultime inclination
à faire déborder la gouttière des joies.
Fagots irrésolus sont les trombes du vent,
qui brûlent les rafales des eaux séculières
et dépourvues de berges. Tout est non-drapeaux
et sans graal, que l’envie de baste en espalier
d’éclaircies non Delphiques, mais fuguées d’instants,
au plus près de la cruche aride du soleil
et de sa forge apiaire de charbon fécond,
où nos astres perso ruissellent à la lettre.