Des lettres à Elise sur la peau des jours,
ponctuent les heures sans milice d’étrier
qui fouette le galop du blanc avec ses plis
de draps mal informés des ruses et des heurts,
qui fleurissent, délices et douleur de clauses
reprises sans fin. L’odeur de fronde nue
envoie vers l’insensé macramé de la faille
la double foulée détalonnée du vent,
au van resplendissant de ce rien qui rend tout
et qui est sur le char de sa félicité,
quand le lierre des mains escalade le dit
du souffle dégainé au silence annoté
de la chute effrénée, toisant le suspendu
de la durée cavée aux branches de l’éclair.