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Article publié le 18 février 2024. oOo Je demeure attaché par des liens dont je ne sens plus la force : ce je ne sais quoi de pathétique échangé volontiers contre un peu de panthéisme.
Les lendemains de noces affectés d’idées forces agissent comme un révulsif, mais je peux encore sortir saluer le jour.
Jusques aux bords, les sentiments sont à leur place, les idées sont claires, les mots se referment sur des sensations tenaces. Ni entrave ni ancrage, mais passage. Rien ne cheville plus mon corps que ce lien qui libère !
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