Des dérives sans noms et des clous échappés
des douloureuses nuits sans chair à traverser,
ni bois d’obscurité dont les feuilles sont nues
de s’être détachées des veines du sommeil
au col de révérend ; des chaises vitupèrent
le sol qui se refuse au solstice des fleurs
d’encre de doigts salis au pollen des désastres,
ces falaises fardées de chutes adorables ;
alors que les cuissardes des mains la revêt,
la nudité charnue des cuisses se renforce
et fait bouger l’écluse des sueurs celées
sous la peau de la peau. L’éternité mûrit
sous les heurts tâtonnant le fanion de l’écho
sur l’arête de l’impatience retardée.
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