Peut-être est-ce l’étang déballé qui dénude
la lumière de son odeur musquée de veuve
joyeuse ; et la laisse basse du vent hume
tout ce petit bruit de froissement posé
sur le n’importe quoi d’écarts à l’excès lent,
comme ce bouche à bouche avec la pourriture
des feuilles tombées de leur légèreté
profonde, et démasquée par une hilarité
de narine céleste ; et ce relent de foudre
au seuil de son éclair, chitine un ciel navré
en instance d’exil ; les branches sont imbues
d’une ombre mal lavée qui forme un entrelacs
d’absides où épars, les caleçons du ciel
sont dorés par l’urine avare du soleil.