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Article publié le 22 septembre 2024. oOo Ce presqu’il, sur le moi jeté, et bras de mer à la lune allié, remue-marnage, vive pensée, douces songeries, presque-rêveries ; les ruisselets infatigables sillonnent l’estran, toutes proches, saillantes, les roches granitiques, les oyats nombreux sur les dunes voyageuses. Pleine lune sur les dunes, à la nuit tombée. Vue d’en haut, une dune compose un visage souriant, oyats font les cils, bouche ouverte par quelque creux en forme de demi-lune dessiné la vielle par des mains d’enfants et yeux fermés, pudiques, cils-oyats frémissant sous la brise. Jean-Michel Guyot 16 septembre 2024 |
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