Un louvoiement de lieux est en meute chantée
par le corps morcelé ; des arrhes sont versées
aux vents du sang mordu par l’impossible dent
qui voyage de faille en gueule, désirant
la satiété recluse dans les perce-neige
à pattes de velours, comme des carillons
au front de la caresse des doigts fustigés
de fuites en clochers ; cendre passante prête
aux bouches incendiées de hurlements lovés
à la baille-Ophélie, hochée d’un silentiaire
aux battants de son dire d’enfance mêlée
à son ‘échocorchure’ ; l’envie de noyade
d’une écluse où passe le défi des mots,
mordant l’ourlet de l’encre-écart à pleines dents.