D’infinis lieux de roses brèves et de sable
aux épices noceuses de vents, font couronne
autour d’un front caché ; des voiles se dispersent
dans la nudité où le marbre affriole
la beauté des bras de mer et de ses ports
où nymphes s’élaborent de la poésie
vers quoi mène le songe ; et l’aboiement des chiens
hèle le minotaure au pourtour de la noce
des mots récités sur la scène d’ici
ou devenus silence et géode éclatée
pour signifier les ruses de l’amour et de
la migration des causes ; la metanoia
antique tient la ligne où l’écrit se fourvoie
jusqu’à l’obscurité du rapt de la parole.
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