Philippe Comar, « Un cri derrière la porte », Monotypes d’Édith Dufaux, Editions Fata Morgana, Fontfroide le Haut, 2025,48 p., 14 €
Philippe Comar, scénographe, plasticien, commissaire d’exposition et écrivain dont les œuvres ont notamment été exposées au Centre Pompidou et à la Biennale de Venise, est Professeur de dessin et dont la morphologie est au fondements de son art et de ses textes, ouvrages de poésie, essais ou ?ctions. Ce livre devient la synthèse de ce qui se donne ou est donné là où les mots ne peuvent plus se vocaliser de manière audiible.
Ne restent, à travrs les portes closes perçues entre autres dans les escaliers des immeubles que les cris de la douleur au plaisir. Dans ce qui tient ici des mythes et de la fantasmagorie avec des echos de Breton, Ernst, Rodin et d’autres maître des lieuc où le corps sont touturer par de désir qui tuent et le plaisiur de sa petiite mort.
Chacun, a son rôle précis, comme les pièces d’une chaîne de montage : celles et ceux qui produisent ou consomment, ceux et celles qui ne font rien - ce sont des cas rares mais il se yrouve toujours des âmes dans des corps que Dieu Eros a réunis. Leur rêve continue. Leur devoir aussi.
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