La fanfare du zoo est sa trompe. Un gardien caresse la fanfare et le zoo est une caressante douceur. Nous visitons le zoo en fanfare avec une étonnante mémoire de gaufre. Une odeur musicale de gaufre et de défense de donner du pain aux animaux. Les bâtons de Jacob des cages de nos souvenirs tigrent nos élans de les ouvrir. Cela c’est une énorme gaufre et en fanfare ici avec sa trompe énorme d’enfance. On caresse en gardien la fanfare et le zoo qui trompent le sérieux de l’âge fanfaron avec ses souvenirs. On repoudre des gaufres avec le sucre blanc de Toomais barrao. D’un bout à l’autre de la ligne les trompes se lèvent à toucher les fronts. Et la trompe s’allonge ici de la fanfare grise de l’énorme gaufre saupoudrée et lève jusqu’au front sa prose et son gardien. Défense de donner des animaux aux mots qui sont des animaux énormes en fanfare et leur tutti d’un bout à l’autre de la ligne sur son fond d’ivoire.
Je vous présente le petit bonhomme qui vous a vu danser au fond de vos retraites.
Kipling (Le livre de la jungle)