Il est assis debout. S’est levé dans ses murs. La fenêtre est le moi qu’il ouvre sur dehors-dedans avec les bruits. Il n’est que ce pistil debout qui fait vibrer cette peau de tambour des choses tout en voix. Tout autour sont les ombres, leur mufle de tombe en corolle. Il écrit est assis se lève dans ses murs qui sont les murs de tous qui s’est levé assis pour écrire le moi et qui n’est qu’un profil qui est aussi la chambre. Il est en voix de choses dans un poisson d’eau. Une odeur de café c’est le jour, écrit Je. C’est le moi écrit-il et le sol qui prend corps et faim sur cette ligne. Il est la chaise qu’il s’agit et le café. Dit oui aux catastrophes de dire est levé. Au monde avec ses murs ses tombes en corolles à trousser de près pour se lever pistil. Âme avide de langue écrit-il est assis comme folio de soi écris-je il est levé. Écrit les murs nouveaux sur la peau de tambour des choses et les mots du sol qui s’est assis et qui n’est qu’un profil de café reproduit par son odeur nouvelle et le jour qui s’écrit.
Ici nous devrons redéfinir l’imagination.
Aragon