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Plan d'ACTOR (zone in progress)
» EXTÉRIEUR : Récits et lectures La question du parergon, si elle se pose, n’est pas abordée ici. Un « extérieur » constitue le cadre dans lequel la pensée agit comme croissance du sentiment d’appartenance (« la preuve, je lis »). Un « intérieur » témoigne au mieux des péripéties du désir au fil de l’accumulation des écrits. » PREMIÈRE PARTIE Il n’y a rien d’autre à faire, pour commencer, que de s’expliquer du mieux qu’on peut. Ainsi, la matière initiale est soumise à des contraintes venant de l’extérieur comme de l’intérieur. Qu’il y ait des lois à cela n’est pas impossible. Est-il toujours assez tard pour s’en inquiéter ? Les premiers personnages sont nés dans des récits de lecture. » LIVRE PREMIER La nuit battue à mort » En guise de préface - Notes sur "la nuit battue à mort" Ici, je pourrais aussi bien « relire » les « Essais sur les modernes » de Michel Butor. Mais Maurice Blanchot, lu à la même époque, échoue à devenir un véritable écrivain, ce qui n’est pas le cas de Michel Butor. Cet échec du « lecteur » au détriment de « l’écrivain » m’a soudain passionné. J’en rends compte ici. » Chapitre premier - I - PERSONAE Pas d’hésitation : dans mon esprit, toujours à la même époque, Pound, avec ses Cantos et son ABC de la lecture balaie la french theory de mon esprit. La poésie s’impose à moi non comme un champ sémiotique, mais comme l’« idée du corps ». » Chapitre deuxième - II - HUSTERA Le côté « nature » des observations qui suivent a jeté le doute dans mon esprit à l’époque en plein dans les études musicales. En effet, l’idée d’une espèce de résonance naturelle du texte me paraît trop simple... Cependant, Ernest Fenollosa est aussi dans le vrai... Voici une traduction de sa célèbre étude. » Chapitre troisième - III - DRAMA La Terre vaine, fruit d’une collaboration dont je ne cesse de pister les fuites en perspective, pose d’innombrables questions auxquelles il est impossible de répondre autrement que par l’engagement de soi-même en poésie. Cela arrive quelquefois. Kora in hell aurait aussi pu jouer ce rôle. Le tout pris au piège de L’immaculée conception et de Nadja... » LIVRE SECOND - DRAMA II S’ensuit une dramatologie dont les actes ne se théâtralisent pas au point de donner lieu à une dramaturgie en bonne et due forme. Au contraire, la complexité annule les effets par trop classiques et prévisibles de l’absurde considéré comme une conséquence inévitable du fait de penser simplement. » « Acte I » - Mon siège de Robbe-Grillet » « Acte II » - Le coup de dés de Mallarmé, pierre d’angle À la question de Wittgenstein : « Que reste-t-il de l’acte de lever mon bras une fois que je l’ai levé ? » la réponse —> « Que resterait-il de l’acte de lever mon bras si je le levais ? Et si je ne levais pas, qui serais-je ? » » « Acte III » - L’étranger Ce « I2 » n’est en rien une analogie, ni surtout une référence mathématique. Contrairement aux « tores » de Lacan le rigolo... Cette égalité paraît non pas absurde, mais complexe. C’est toute la différence. Laissons la science aux scientifiques, pas aux ingénieurs, ni surtout aux poètes. L’absurde confine aux mises en scène. La complexité s’adonne aux prolégomènes. » « Acte IV » - Cosmogonies Cosmologie : Étudie la structure d’ensemble et l’évolution d’un « monde ». Herméneutique : Analyse des sources de l’inspiration. Gaston Leroux & Philip K. Dick André Breton & Paul Léautaud La présence & l’esprit Le roman scientifique & le roman de moeurs Carl Rogers & Kierkegaard Boris Vian & Jacques Bens Jacques Bergier & James D. Watson Wassily Kandinsky & Antonin Artaud Cano & le bleu de Prusse L’action & la curiosité Le rocher de Sisyphe Ernest Hemingway & Wystan Hugh Auden & Boris Vian Mort dans l’après-midi Ionisation Ce qui augmente beaucoup le plaisir » « Acte V » - Rhéologie et herméneutique du cas d’auteur (éléments) » DEUXIÈME PARTIE - LECTURES D’UNE PNEUSTIE » LIVRE III - Documents » LIVRE IV - Manifestes du surréalisme » LIVRE V - Le théâtre et son double » Conclusion - Thomas l’obscur » INTÉRIEUR : Écrits À l’intérieur, pas d’idée de dieu, ni d’inconscient. Les délires métaphysiques du passé, sacrés et inspirés, ainsi que ceux qui marquent notre temps, servent sans doute les nations et les sectes, mais n’ont pas de place chez moi. Je n’entre dans les églises, les mosquées, temples et synagogues que pour les... profaner ! Ce qui ne concerne pas la littérature. Certaines activités humaines rendent idiot, comme le sport, ou faux-cul, comme la politique. D’autres tracent ce cercle infini – ce que je symbolise par ce cercle – qui à la fois me sépare de l’extérieur par sa possibilité et m’en approche par des travaux forcément modestes et hypothétiquement appréciables. » ANNEXES C’est ici que le bât blesse... Il le faudrait presque. La réalisation est ce qu’elle est... Il vaudrait mieux en effet parler d’annexes complètes plutôt que d’œuvres complètes. » alba serena, écrit. » Coulures de l’expérience, poème. » Tantatan » 3.1. Aliène du temps, roman. » 3.2. Tractatus ologicus, roman. » 3.3. Cancionero español, chansons. » Anthologie des acteurs de l’enfer |
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