Je te cadre, tu me recadres...
On ne recadre pas ce qui n’a pas été cadré. Et on ne cadre pas ce qui ne se recadrera pas.
Ségolène Royale.
Non... sans déconner... On a la solution. Il faut dire que « recadrer » n’est pas synonyme de « faire de la politique ». Ou bien les choses, et les êtres, sont « cadrés » et personne ne bouge parce que le petit oiseau va sortir. Ou bien on refait la photo et tout le monde retourne aux urnes et aux petites merdes d’oiseaux qu’on met dedans. « Recadrer », ce n’est ni l’un ni l’autre. Ou tu le fous dehors même s’il ne sait pas voler de ses propres ailes. Ou tu dis à tout le monde qu’on s’est gouré ce qui, en politique, ne pardonne pas à ceux qui la font, ni à ceux qui la subissent ou en profitent selon le tirage. On a la solution. Sans déconner. On n’est plus du temps des Demoiselles. Les français, on vit avec, même si ça ne leur fait pas toujours plaisir de vivre sans nous. On a la solution. Et on déconne pas. On cadre comme tout le monde mais nous, on se décadre pas. Ou tu te mets dedans. Ou tu n’oublies pas les roues. La solution. Ni de droite, ni de gauche. En plein cadre, quoi ! Et comme on n’est pas rancunier, on offre le guidon... ou le crochet, comme vous voulez.