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Article publié le 19 juillet 2015. oOo Sur les bolides de la peau tout neufs de genoux affolés se conjuguent des doigts mal famés. Où dort le cerf-volant des entrées du non-sens grince le cantabile à tue tête. L’oreille de vue caresse le genou sa pagode mouillée. Tout un sérail de failles pour un sens qui se perd dans une terre ébouriffée. Petits sloops de guerre en radoub. Parmi l’herbe-aquarium où les doigts se conjuguent sis entre les coudes de petits sarcophages tout vifs d’aporie. Doigté serré dans le sens de la plaie et l’éclaircie dans le cantabile de sa chemise retroussée de pluie. Troupeau mouillé à l’huis. Un scarabée blotti dans sa propre sanie tire à la ligne son dieu de chitine ses pinces consacrées à Proserpine. Un ruisseau lape son cours et la tige du jour monte vers sa chute busquée d’injonction. Le doute en fleurs s’ébranle et doute de lui-même. Les mots galériens délivrés par la vague tombent de leurs voix. Ardoises éboulées d’un toit avec le sens qu’a pris un autre sens et qui s’affale. Le rêve s’agenouille dans son réveil gemmé la tête assise à l’entre-deux dans ses engrais. Et le sceptre de l’herbe et la scierie de l’eau défalquée du ruisseau et le ciel qui s’abat. Deux tempes se tripotent dans une cagoule de signes obliques entre les genoux pris en stop par le clavier qui distribue de petits graals dégingandés et remplis de raisons en stage à tout casser.
Sur le grand théâtre où le plaisir écume/ où l’enchanteur se perd malgré ses jongleries.
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