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Article publié le 12 mai 2006. oOo SUR LA LANDE
au fond, au fond des bois, sur l’espace vital espacé des traits azurés. À l’ouest d’Eden, pour reprendre la mythologie, les eaux se sont séparés. Apollon et les déesses Néfertiti et les dieux occupent le livre des histoires. Au matin frais du mois d’avril, sur le bois mort de la pile revit, revit la vie, elle porte couleurs aux sentiments ; je suis amoureux des jonquilles et genêts, du jaune tout entier avec ses nuances ! Sur les matins d’automne, je me suis endormi pour passer l’hiver, l’oiseau recommence à chanter timidement ; j’écris des poèmes, au milieu des manifestations populaires des rues ! À l’ouest d’Eden, Certaines femmes ont des papillons à leur yeux et n’ont plus d’âges, quand elles croisent certains regards sur la Lande, à l’arrière pays des hommes sans frontières.
oOo LES PAUSES ET LES ACCORDS
aux allentours de l’eau, un cône en feuille fine Toute autre mélodie, dès lors, j’entends au banc, Moi, assis ici là, le vois à mi-colline.
au rond-point des chemins ; c’est un don du ciel bleu, à l’intention du jour aperçu que j’effleure. Le soleil sur le front, ses rayons sont radieux.
j’oublie les temps mauvais ; d’hier, je me repose. Les romans, le poème, au vécu embelli.
Les pauses des accords ne me demandent rien, le bruit est trépassé, le vent l’emmène au loin. |
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