Une hirondelle brise les lois chimiques
De l’air saturé de cris d’enfants et l’eau
Éclabousse le visage de la fille rieuse
Qui se mouille comme le ciel se grise
D’appartenances chaudes. Des petits cailloux
Ont perdu l’équilibre et les rejoignent
Au bord de la fontaine dont les briques
Absorbent tandis que l’émail autorise
Les coulures. La femme est penchée
Sur la chevelure qui s’amenuise
Et l’homme consent à rire au bord
Du même angle d’ocre calciné. Clinkers
Des yeux. Les oiseaux reculent encore
Et l’âne retourne dans l’aire de battage.
Je m’éloignais d’eux comme on s’active
Au contact de l’animal indésirable
En ce moment d’observation immobile...