Le soleil admire
Les délires déments
Des navires sans voiles
Les turpitudes sordides
Des hydres barbares
Plus d’arcs en ciel
Pour peindre l’espérance
Sur les lèvres en transe
Des saisons imberbes
Sur les confusions funestes
Des sombres passants
Sur les épaules épuisées
De l’immobile grisaille
Que fleurissent les champs
Des espoirs en ruine
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Revue d'Art et de Littérature, Musique - Espaces d'auteurs